Bayrou coincé dans un Rafale : quand le Salon du Bourget vire au sketch des Inconnus, édition Frankistan

Bienvenue au pays où même un salon de l’aéronautique finit en bide monumental. Ce mercredi 18 juin, on ne parlait pas de technologie de pointe, ni de contrats d’exportation ou de puissance militaire. Non, non. Le clou du spectacle, c’était François Bayrou, Premier ministre par intérim, maire de Pau en CDI, et désormais… pilote de légende. Ou presque.

Parce que figurez-vous que François a voulu se la jouer Tom Cruise. Résultat ? Il a fini comme Louis de Funès dans une scène inédite des Gendarmes de l’Air. Une démonstration grandeur nature de la fameuse “exception française” : celle qui transforme un salon international en stand comique.

Top Gun version Pôle emploi

Tout avait bien commencé : poignées de main, sourires crispés, déambulation d’usage entre deux drones et un missile hypersonique. Et puis, l’envie soudaine du François national : grimper dans un Rafale. L’idée ? Se faire un petit Top Gun moment pour les caméras. Sauf qu’au lieu de Maverick, on a eu Playmobil coincé dans son cockpit.

On ne monte pas dans un Rafale comme on monte dans une Twingo. Mais Bayrou, lui, est allé franco. Résultat : bloqué dans l’habitacle, bras écartés, demi-sourire figé, posture de yoga involontaire. Et cette phrase non prononcée, mais parfaitement lisible sur son visage :
« Sortez-moi de là, ou je nationalise Dassault. »

Un technicien, probablement payé au SMIC pour garder son calme devant tant d’absurde grandeur, a tenté de lui expliquer comment ne pas enclencher le siège éjectable tout en ouvrant la trappe. Dommage : pendant ce temps-là, la presse filmait. Et les réseaux sociaux s’enflammaient.

Le Rafale : 5e génération, 1er degré

François Bayrou s’était déjà comparé à Richard Gere. Après cet épisode, c’est la gravité elle-même qui a recadré ses ambitions hollywoodiennes. Et soyons honnêtes : même si Dassault vend des avions à l’Inde, au Qatar ou à la Croatie, l’image du ministre coincé dans un cockpit à 70 millions d’euros… c’est moins vendeur.

Mais après tout, la scène a au moins eu le mérite d’illustrer parfaitement la politique française :

« Un pays où rien ne décolle, sauf les promesses. Et où tout finit toujours par se crasher, même dans un simulateur de puissance. »

Quant à Tom Cruise ? Il peut dormir tranquille. La relève tricolore est clouée au sol.

Et nous, pauvres Français du Frankistan, on regarde cette bande de branquignols diriger le pays comme on regarde une série comique : un peu honteux, très fatigués… mais incapables de détourner les yeux.

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Attention, ici, l’actualité est revisitée avec une touche d’ironie et de second degré. Ce contenu est purement humoristique et n’a pas vocation à refléter une vérité absolue. Prenez-le pour ce qu’il est : une invitation à rire et à réfléchir, rien de plus ! 😏

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