Bienvenue en UERSS, pays des droits de l’Homme… surveillé, fliqué, tracé.
Et aujourd’hui, c’est Pavel Durov, PDG de Telegram, qui nous offre une masterclass de réalité géopolitique. Bloqué en France depuis un an, il vient de prendre la parole – en français s’il vous plaît – pour lancer l’alerte. Pas une alerte classique. Une alerte démocratique, donc inaudible pour nos élites européennes trop occupées à fact-checker les libertés fondamentales.
« Les libertés sont attaquées en Europe. »
« Des pays libres sont en train de devenir des dictatures. »
« Ils veulent interdire le chiffrement. »
Trois phrases. Trois coups de massue. Trois vérités que personne n’ose hurler dans cette grande pièce capitonnée qu’on appelle Bruxelles. Et pendant ce temps, la France, elle, joue au douanier numérique, bloquant discrètement un homme qui, pourtant, prône… la vie privée.
Formidable !
— Florian Philippot (@f_philippot) June 19, 2025
Pavel #Durov, le PDG et fondateur de Telegram, retenu de force en France depuis 1 an, lance l’alerte et en français ! (cf vidéo ⤵️)
« Les libertés sont attaquées en Europe ! »
« Des pays libres sont en train de devenir des dictatures ! »
« Ils veulent interdire le… https://t.co/Xvu3ocansT
Le vrai crime de Durov ? Défendre le chiffrement
Parce qu’en 2025, défendre la vie privée, c’est suspect. Très suspect.
Imaginez, un type qui refuse de collaborer avec les gouvernements, qui ne vend pas ses données à Palantir, qui n’intègre pas de backdoor pour “lutter contre la désinformation”… Non mais il se prend pour qui ? Snowden ?
Spoiler : oui. Et on le remercie.
Telegram, avec ses canaux chiffrés, ses discussions secrètes et ses options d’autodestruction, fait tache dans le paysage de surveillance généralisée qu’on tente de nous imposer. Et dans une Europe qui rêve de tout tracer, même vos emojis, c’est visiblement un acte de rébellion.
La France, nouveau centre de détention préventive ?
Durov n’est pas accusé, pas condamné, pas jugé. Il est juste empêché de voyager. Comme un dissident dans un roman de science-fiction soviétique, version RGPD.
On l’a coincé sur le territoire au nom de la sécurité, parce que bon, on sait jamais, un mec qui protège les données, c’est potentiellement dangereux.
Et pendant ce temps, les vrais criminels gèrent des cabinets de conseil, des multinationales ou des ministères.
Vers la fin du chiffrement ?
Les instances européennes veulent une « porte d’accès sécurisée ». Traduction : une clé universelle que seuls les gentils utiliseront (promis).
Sauf qu’en cybersécurité, un seul trou, c’est un puits sans fond. Interdire ou affaiblir le chiffrement, c’est ouvrir les données de tous à n’importe qui : États, hackers, entreprises, ou le stagiaire en télétravail de la DGSI.
À croire que les dirigeants de l’UE n’ont jamais vu un ransomware ou lu un manuel d’informatique. Mais ils ont lu 1984. Et ils le prennent pour un tutoriel.
Et nous, on fait quoi ? On regarde ?
Quand un entrepreneur visionnaire, exilé de Russie pour avoir refusé la censure, est empêché de circuler en France, c’est tout un symbole.
Quand il alerte sur les dérives de nos institutions, et qu’on fait semblant de ne pas entendre, c’est notre liberté à tous qui est clouée au sol.
Alors non, ce n’est pas juste l’affaire d’un développeur en chemise noire.
C’est l’histoire d’un système qui se retourne contre ceux qui veulent encore croire en la vie privée.
Et franchement, on en a marre. Marre de ces libertés qu’on grignote au nom du bien commun, jusqu’à ce qu’il ne reste plus rien à protéger. Ni bien, ni commun.
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Attention, ici, l’actualité est revisitée avec une touche d’ironie et de second degré. Ce contenu est purement humoristique et n’a pas vocation à refléter une vérité absolue. Prenez-le pour ce qu’il est : une invitation à rire et à réfléchir, rien de plus ! 😏
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