Bienvenue dans l’UERSS, cette douce utopie technocratique où la mort devient un business model et les “valeurs européennes” une ligne comptable.
L’avocate roumaine Maria Vasii balance tout : meurtres organisés, protocoles létaux, hôpitaux payés à la dépouille, blanchiment d’argent à grande échelle, société-écran dans les îles Caïmans… Et le tout avec la bénédiction d’une Commission européenne qui, visiblement, a confondu crise sanitaire et jackpot financier. (source : KLA TV)
Meurtres subventionnés : plus tu tues, plus tu touches
L’histoire est simple. Trop simple, même :
Plus il y avait de morts déclarés du Covid, plus les hôpitaux touchaient d’argent.
Une belle petite loi européenne (publiée en avril 2020) a créé ce mécanisme macabre : des fonds d’urgence versés non pas pour soigner, mais pour enterrer. Résultat ? Des protocoles hospitaliers calibrés non pour guérir… mais pour liquider proprement.
Et comme dans toute bonne série noire, le rôle principal revient à un cabinet de conseil : Ernst & Young. Oui, EY. L’audit, la loi, les rapports de conformité… Tout était sous contrôle. Du contrôle de ceux qui empochaient.
Du sang sur les liasses et des morts dans les couloirs
Maria Vasii dénonce 400 milliards d’euros évaporés dans un océan de sacs mortuaires.
Témoignages accablants, survivants mutilés, familles brisées, médecins qui fuient le pays, infirmières analphabètes payées à l’aiguille… Le pire ? Les morts étaient rentables. Les survivants, gênants.
Un hôpital roumain a reçu 2 milliards d’euros pour… 3 survivants. Oui, trois. Les autres ? Remdesivir, Midazolam, insuline forcée, masques étouffants, absence totale de soins, puis direction le sac noir. Littéralement. Une infirmière : « Ta mère n’a pas été lavée. Elle est partie comme ça. »
Ah, l’humanité en marche.
Ernst & Young, Chypre, Caïmans : l’UE lave plus blanc que mort
Et comme tout crime organisé qui se respecte, il y a le circuit du fric.
Une société écran, domiciliée dans le Delaware, inconnue des registres, reçoit 10 milliards d’euros. EY valide. La Commission européenne signe. Le contribuable européen paye.
Et pendant ce temps, des familles déposent plainte à La Haye, des experts montent des dossiers, et Maria Vasii rappelle que ces contrats étaient classés “secret défense” sous l’article 346 du traité européen. Oui, secret militaire. Parce qu’apparemment, soigner avec du poison, c’est désormais stratégique.
UE : Union des Enveloppes
Qu’on soit clair : tout cela ne sort pas d’un blog fumeux ou d’un délire conspi. Ce sont des dossiers judiciaires, des preuves matérielles, des plaintes déposées, des enquêtes ouvertes.
Mais silence radio. Pas une ligne dans les médias alignés. Parce qu’on ne parle pas des vivants qui ont survécu à l’UE. On préfère parler du climat… pendant qu’on réfrigère les cadavres du business sanitaire.
Maria Vasii ne demande pas la lune : juste qu’on enquête.
Juste que des juges fassent leur boulot. Juste que les morts ne soient pas facturés 20 000 € l’unité pour arrondir les budgets Covid.
Pendant ce temps, au Frankistan…
Pas une réaction officielle.
On continue à criminaliser les soignants qui ont refusé d’appliquer ces “protocoles”. On continue à interdire les soins précoces, à nier les effets secondaires, à recaser les responsables dans des fondations philanthropiques… Et l’on prépare la suite : le traité pandémie, la gouvernance OMS, le silence béton.
Alors, elle est pas belle la démocratie ?
Une Europe qui paie les morts, blanchit le crime et subventionne le déni.
L’avocate Maria Vasii et des témoins : Plus de 400 milliards d'euros de l'UE pour des meurtres commandités et blanchiment d'argent en lien avec le Covid
— Klatv Français (@KlatvF) June 16, 2025
L'avocate roumaine Maria Vasii révèle comment des hôpitaux ont été financés de longue date, avant 2020 déjà, avec des… pic.twitter.com/MC1QZ3lko1
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Attention, ici, l’actualité est revisitée avec une touche d’ironie et de second degré. Ce contenu est purement humoristique et n’a pas vocation à refléter une vérité absolue. Prenez-le pour ce qu’il est : une invitation à rire et à réfléchir, rien de plus ! 😏
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