Les vaccins anti-Covid, vendus comme l’ultime rempart contre la pandémie, ont-ils tenu leurs promesses ? À en croire la chronologie des discours médiatiques et politiques, la réponse semble osciller entre déni, minimisation et tardive reconnaissance des effets secondaires. Grâce à un document disponible sur Juste Milieu, il est temps de comprendre l’ampleur de ce que l’on a caché au public.
De « complotistes » à lanceurs d’alerte : l’étrange retournement médiatique
Souvenez-vous : poser la moindre question sur l’efficacité des vaccins ou leurs effets indésirables relevait de l’hérésie. Fact-checkers, experts autoproclamés et gouvernements nous répétaient en boucle : Circulez, il n’y a rien à voir ! Pourtant, les mêmes médias qui conspuaient les sceptiques commencent doucement à faire marche arrière… maintenant que l’affaire est classée.
Une succession de phases qui interroge
- Phase 1 : « C’est faux, vous êtes complotiste ! »
- Toute critique ou questionnement sur le vaccin était taxé d’ »antivax » et de « désinformation ».
- L’efficacité était « scientifiquement prouvée », les effets secondaires « minimes ».
- Phase 2 : « C’est vrai… mais c’est quand même complotiste ! »
- On admet timidement quelques « cas isolés », mais on minimise systématiquement.
- « C’est le stress ! » ou « C’est l’effet nocebo ! » deviennent des arguments récurrents.
- Phase 3 : « C’est vrai… mais c’est trop tard ! »
- Aujourd’hui, il est enfin permis de parler des effets secondaires, mais il est souvent trop tard pour obtenir réparation.
- Des études officielles confirment des myocardites, des thromboses et des troubles menstruels… mais « le rapport bénéfice-risque reste favorable ».
Quand la presse découvre soudainement des évidences
On découvre donc aujourd’hui que les myocardites existent, que des complications graves ont été observées et que l’efficacité vaccinale a été largement surévaluée au fil du temps. Pourtant, ces données étaient connues dès les premières vaccinations massives. Simple erreur d’appréciation… ou manipulation assumée ?
Un enjeu de santé publique… et de responsabilité
Face à ces révélations tardives, une question demeure : qui assumera les conséquences ? Les laboratoires ? L’État ? Les médias ? Pendant que les victimes se battent pour faire reconnaître leurs souffrances, il semble que tout le monde cherche à tourner la page.
À chacun de se faire son propre avis. Mais une chose est sûre : la vérité finit toujours par éclater… même trop tard.