L’été 2025 signe l’interdiction des châteaux de sable : parce que les insectes invisibles ont désormais un avocat

Bienvenue sur les plages de l’UERSS, version 2025.
Oublie la crème solaire, les enfants qui rient, et les pelles en plastique. Cette année, c’est ambiance châteaux interdits et délire environnementaliste sous Lexomil.
Pourquoi ? Pour protéger les « micro-habitats côtiers », où vivent des insectes et des oiseaux… parfois invisibles à l’œil nu. Oui, invisibles. Non, ce n’est pas une blague. Pas encore.

Après les virus fantômes, voici les moineaux holographiques

On se croirait dans un spin-off de Black Mirror meets Ushuaïa Nature.
En 2020, tu ne pouvais plus sortir de chez toi à cause d’un virus microscopique.
En 2025, tu ne peux plus creuser dans le sable à cause d’un coléoptère imaginaire.
Même recette : culpabilisation, science instrumentalisée, danger invisible… et acceptation docile.

« Jusqu’où ira votre tolérance de la connerie humaine ? » demandait un lecteur lucide.
Spoiler : jusqu’à l’enterrement de nos châteaux d’enfance, manifestement.

Le sable, nouvelle zone Natura 2000… pour les acariens mystiques

Il paraît que creuser un trou dans la plage risque de déranger un écosystème fragile.
Mais fragile à quel point, ce truc ?
On parle d’un moucheron traumatisé par un seau rouge ? D’un crabe hypocondriaque ?
Ou peut-être d’une mouette holographique qui fait des crises d’angoisse dès qu’elle voit un gamin modeler une tour ?

Le sable, dans leur monde, est sacré, réglementé, tracé, légendé, sacralisé, sanctuarisé… mais surtout interdit.
À ce rythme, le seul truc que tu pourras encore construire sur la plage, ce sera ton dossier de contravention.

Et si c’était juste un test de plus ?

Test de servilité ?
Test d’acceptation de l’absurde ?
Test de notre capacité à obéir à une interdiction grotesque juste parce qu’elle est estampillée “pour la planète” ?

C’est le même processus que le Covid : on interdit des choses simples, naturelles, joyeuses…
… et on te regarde gober l’absurde, avec le petit air supérieur de celui qui « sait mieux que toi ».

Parce qu’il ne faut pas heurter un oiseau invisible.
Parce qu’un château de sable, c’est peut-être un attentat contre l’ADN d’un escargot.
Parce que réfléchir, c’est devenu subversif.

La plage n’est plus à toi, elle est à la bureaucratie magique

La mer ?
Elle appartient à l’Europe.
Le sable ?
À la DREAL. (Direction Régionale de l’Environnement, de l’Aménagement et du Logement)
Ton seau ?
À la prochaine fouille administrative.
Et ton château ?
À l’Histoire. Définitivement enterré sous des couches de propagande écolo-farfelue.

Conclusion : enterrez vos illusions… mais pas trop profond, ça pourrait déranger un lézard quantique

Cet été, n’enseignez pas à vos enfants à construire.
Apprenez-leur à se méfier des pelles.
À demander l’autorisation avant de faire un pâté.
À consulter l’arrêté municipal avant de rigoler.

Parce qu’à force de tolérer l’intolérable, on a fini par creuser nos propres tombes — à mains nues, et sans château.

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Attention, ici, l’actualité est revisitée avec une touche d’ironie et de second degré. Ce contenu est purement humoristique et n’a pas vocation à refléter une vérité absolue. Prenez-le pour ce qu’il est : une invitation à rire et à réfléchir, rien de plus ! 😏

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