Ah, le Frankistan, ce pays où faire un peu de travaux, c’est comme transformer une taupinière en lac artificiel. Et bien maintenant, ajoutez à ça une pincée de Jeux Olympiques et vous obtenez la modique somme de 6 milliards d’euros, d’après la Cour des comptes (chiffre publié le 23 juin 2025) (source : ladepeche.fr). Oui oui, vous avez bien lu : 6 milliards ! Du lourd, du sérieux, même pour le Frankistan.
Décryptage piquant
1. Les chiffres officiels selon la Cour des comptes
- Organisation proprement dite : 2,77 milliards €
- Infrastructure (transports, aménagements, etc.) : 3,19 milliards €
- Total : 5,96 milliards € (≈ 6 milliards) (source : lemonde.fr)
2. Sécurité : le petit extra qui monte à 1,44 milliard €
Il fallait bien caser quelque chose, sinon on n’est pas crédible : 35 000 à 45 000 flics et militaires mobilisés par jour, primes, heures sup’, cyber‑protection, vidéosurveillance… tout ça tire la note bien au‑dessus d’un café serré .
3. Paris 2024 crie au scandale (avec véhémence)
D’après Tony Estanguet & co, la Cour a fait le grand écart méthodologique : (source : Huffpost)
« maximiser systématiquement les montants retenus »
« imputer intégralement aux Jeux des dépenses non liées »
Bref, selon eux c’est du grand n’importe quoi, du récit à faire frémir la France entière – pardon, le Frankistan.
4. Paris 2024 réclame les recettes oubliées
Les organisateurs brandissent fièrement un surplus de 76 millions € pour le COJO, et un impact économique global de 9 milliards € selon plusieurs études. Mais la Cour n’a visiblement pas jugé utile d’en parler.
Analyse mordante
- Double discours budgétaire : d’un côté, on promet 2–3 milliards ; de l’autre, on fait péter la barre des 6 milliards. Chapeau le grand écart, applaudiriez-vous ?
- Quand un tout petit bout de sécurité coûte plus cher que votre quartier… bienvenue dans le Frankistan.
- Paris 2024 accuse la UERSS (l’UE) ? Non, ici c’est la Cour des comptes qui fait figure d’agresseur méthodologique, mais ce serait drôle qu’on accuse Bruxelles aussi.
- Oubli volontaire des retombées ? C’est comme faire un dessert en oubliant le sucre – on pointe du doigt, mais ça manque sacrément.
Et maintenant ?
La Cour maintient le cap, défend sa méthode, et rappelle que le rapport définitif arrivera avant le 1er octobre 2025. D’ici là, la France – pardon, le Frankistan – débat, s’indigne, ajuste… Bref, on remet la main au portefeuille… jusqu’aux Jeux des Alpes 2030.