Pfizer-Gate : Ursula au-dessus des lois ? Bruxelles tremble, mais protège toujours sa reine

14 mai 2025. Une date à marquer d’un astérisque, une de plus dans la grande saga européenne du « on a jugé, mais on s’en fout ». La Cour de justice de l’Union européenne a ordonné à Ursula von der Layette… pardon, von der Leyen, de publier ses SMS privés avec le PDG de Pfizer. Et depuis ? Rien. Nada. Que dalle. Ursula s’en tamponne le décret avec une seringue vide.

Bienvenue dans le feuilleton qu’on appelle désormais le PfizerGate, version luxe et opacité, servie tiède avec l’arrogance d’une technocratie hors-sol.

L’Union européenne ou l’UERSS : Ursula décide, le reste subit

Alors, que fait la justice quand elle se fait pisser dessus par sa propre impératrice ?
Elle baisse le masque (chirurgical), et explique tranquillement :

« Le 17 juin 2025, nous n’avons pas la base juridique pour aller plus loin. »

Ah bon ? Parce que pour imposer des QR codes sanitaires, des pass discriminatoires, et signer des contrats de plusieurs milliards avec un laboratoire privé, là, la base juridique était bien solide, hein ?

Mais quand il s’agit de lever l’opacité sur des SMS entre copains, là, on s’écrase comme une mouche sur un pare-brise juridique.

Le Parlement européen ? Un club d’applaudissements bien dressés

Depuis des années, certains eurodéputés (les rares à ne pas roupiller entre deux amendements inutiles) réclament que la Tsarine de Bruxelles vienne s’expliquer. Mais Ursula fait du Ursula : elle ignore. Et surtout, elle n’a toujours pas publié ces foutus SMS.

Mais l’arrogance commence à crisper.
Même dans son propre camp, la majorité flanche. La Commission vient de retirer en douce des textes législatifs, notamment sur le Pacte Vert (parce que bon, faut pas fâcher les lobbies).
Un député macroniste a même lâché dans Politico :

“Le débat sur le Pfizer-Gate, on l’a protégée… mais si ça continue, on arrête.”

Oh, quel suspense ! Il manquerait plus qu’on demande des comptes. Dans une démocratie, ce serait… normal.

Le Parquet ne veut pas, alors on appelle l’OLAF. L’Europe, version poupée gigogne

L’eurodéputé qui avait saisi le Parquet européen en 2022 n’avait eu aucune réponse.
Il recommence en 2025. Cette fois, le Parquet répond : pas possible, pas le droit, désolé chef.

Donc, on passe à l’étage au-dessus : l’OLAF, l’Office européen de lutte anti-fraude.
On en est là : à chercher désespérément un étage dans ce mille-feuille institutionnel qui aurait encore un reste de courage, d’indépendance… et de mémoire.

Transparence ? Non, surveillance. Bienvenue dans la démocratie thermoscellée

« La transparence est fondamentale en démocratie », dit l’eurodéputé.
Mais l’UE, est-ce encore une démocratie ?
Ou une bureaucratie sous seringue, où la règle est simple : on ne demande pas de comptes à ceux qui les passent avec Big Pharma.

Parce qu’en vrai, tout le monde SAIT ce qu’il y a dans ces SMS.
Et c’est bien pour ça qu’on ne veut pas les publier.

Conclusion : Ursula, Reine d’UERSS, intouchable jusqu’à quand ?

Ursula von der Leyen est devenue le symbole vivant de la technocratie immunisée contre la justice, l’incarnation de cette UE qui se donne des airs de démocratie, tout en agissant comme une forteresse verrouillée à triple tour par les lobbies, les cabinets, et les communicants.

Et pendant qu’on nous vend des packs « transparence + éthique » sur LinkedIn, les SMS qui ont scellé des milliards de dépenses publiques dorment toujours dans un tiroir numérique.

Et dire qu’on nous reproche, à nous, les citoyens lucides, d’être complotistes.
Mais à force de nous cacher la vérité, vous nous y poussez.

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Attention, ici, l’actualité est revisitée avec une touche d’ironie et de second degré. Ce contenu est purement humoristique et n’a pas vocation à refléter une vérité absolue. Prenez-le pour ce qu’il est : une invitation à rire et à réfléchir, rien de plus ! 😏

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