Alors voilà, des cartons entiers de dossiers Pfizer Papers viennent d’être exhumés du placard poussiéreux de la FDA. Des centaines de milliers de pages qu’on aurait dû garder cachées pendant 75 ans — le temps que tout le monde crève, quoi. Mais un juge texan a dit non : « les enfants, on partage la copie ». Résultat : une avalanche de paperasse qui pue le formol et qui donne un peu moins envie de tendre le bras au premier pharmacien venu.
Et pendant que Bruxelles avale sa tisane en tremblant, qui débarque ? Naomi Wolf, ex-star démocrate recyclée en lanceuse de grenades médiatiques, invitée par l’eurodéputée allemande Christine Anderson. Dans l’hémicycle, ça a dû sentir le stress : pas question d’ouvrir les fenêtres, ça risquait d’aérer la propagande.
Pfizer Papers : le placard qui déborde
Officiellement, Pfizer savait dès novembre 2020 que ses piqûres miracles n’arrêteraient pas le Covid. Mais chut, fallait bien vendre. Résultat : licenciements, fermetures, gamins virés de l’école, soldats piqués de force… Bref, toute la petite fête sanitaire organisée sur un mensonge. Mais ça, apparemment, ça ne mérite pas une commission d’enquête en France. Ici, on préfère classer secret défense la liste des copains du Conseil sanitaire.
Trump à l’ONU : cow-boy en goguette
Et comme un timing cosmique, Trump s’est pointé à l’ONU en mode « je vais nettoyer cette ville ». Il veut une convention mondiale contre les armes biologiques. Avec de l’IA en prime pour vérifier que tout le monde joue franc-jeu. Hollywood aurait difficilement écrit mieux. Pendant ce temps, Macron ? Silence radio. Sans doute trop occupé à polir son badge de président modèle pour se risquer à dire que, oui, les labos ont eu un petit problème de transparence.
Le grand concours de l’autruche
Ce qui choque, ce n’est pas seulement ce qu’il y a dans les Pfizer Papers. C’est surtout le silence assourdissant des députés et sénateurs français. Pas un pour inviter Naomi Wolf à venir causer au Parlement. Pas un pour exiger que le secret-défense soit levé. Les mêmes qui nous vendaient des « séances de démocratie sanitaire » sont aujourd’hui planqués derrière leur badge d’accès. Courageux, mais pas téméraires.
"Dr. Naomi Wolf Brings The Pfizer Papers Findings to the European Parliament" https://t.co/FIFBNulMIK
— Dr. Naomi Wolf. 8 NYT Bestsellers. DPhil, Poetry. (@naomirwolf) September 3, 2025
Bref
On a :
- des documents explosifs que Pfizer aurait préféré enterrer sous 75 ans de poussière,
- une Naomi Wolf qui balance les dossiers au Parlement européen,
- un Trump qui fait le shérif mondial contre les armes bio,
- et une France politique qui joue à cache-cache derrière ses rideaux.
Mais rassurez-vous : tout va bien, la prochaine campagne vaccinale arrive déjà avec le nouveau variant. Et cette fois, promis, juré, croix de bois croix de fer, ce sera « sûr et efficace ».