Attention, ici, l’actualité est revisitée avec une touche d’ironie et de second degré. Ce contenu est purement humoristique et n’a pas vocation à refléter une vérité absolue. Prenez-le pour ce qu’il est : une invitation à rire et à réfléchir, rien de plus ! 😏

QR codes, vaccins et enfants alignés : bienvenue dans le cauchemar numérique qui s’installera bientôt en Europe sous prétexte de santé publique

On nous l’avait promis : « Plus jamais ça ». Ah oui ? La Chine, elle, n’a pas attendu pour montrer la bande-annonce de ce futur où le QR code devient ton passeport d’existence. Dans une vidéo qui circule, on y voit des enfants chinois bien alignés, comme des petits soldats de la santé publique, attendant leur injection obligatoire, avec un QR code qui mettra à jour leur précieux passeport vaccinal numérique.
La piqûre version 2.0 : tu ne sors pas ton carnet de santé, tu tends ton bras et ton QR code te dit si tu es un citoyen en règle.

En Chine, ton corps est un code-barres

Là-bas, la digitalisation, c’est un art de vivre. Tu traverses la rue, tu es filmé. Tu achètes une bière, tu es noté. Tu éternues sans masque, tu perds trois points de crédit social. Ajoutez à ça la mise à jour automatique du vaccin dans ton passeport numérique, et tu as le cocktail parfait pour faire pâlir Orwell.

L’Europe, toujours en retard… mais jamais en reste

Et pendant ce temps, chez nous, on nous vend l’identité numérique comme une simple « option pratique ». La Suisse vient d’approuver la sienne, « facultative »… jusqu’au jour où, comme le pass sanitaire, ce sera « pas obligatoire mais nécessaire » pour aller bosser, voyager, ou acheter tes coquillettes.
Vous vous souvenez du Pass vaccinal ? Ce petit bijou « provisoire » qu’on nous a imposé pour sauver Mamie au marché ? Eh bien, préparez-vous : demain, ton QR code sera ta carte vitale, ton billet de train et ton permis de respirer.

La mise en garde emballée façon film d’horreur

Cette vidéo fait peur, mais elle a surtout le mérite d’illustrer le futur qui s’installe doucement chez nous. Aujourd’hui « ça se passe en Chine », demain « ce n’est qu’un projet pilote à Bruxelles », et après-demain : « Ah mais voyons, c’est obligatoire pour votre sécurité ! »
Un QR code, une piqûre, un alignement : et si la vraie pandémie, c’était la numérisation forcée de nos vies sous couvert de santé publique ?

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