Découvrez avec Madame-Raleuse.com les révélations du rapport de HCE sur le pornographie en ligne et actes de violence physique envers les femmes.
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Le rapport choc de HCE
Dans un récent rapport tout en nuances du Haut Conseil à l’Égalité (HCE), nous voilà plongés dans le merveilleux monde de la pornographie en ligne. (source : CNews) Le ton employé est tellement subtil, qualifiant cette industrie de « système de massacre des femmes à but lucratif« . Franchement, qui aurait cru que les sites pour adultes étaient des nids d’amour et de gentillesse ?
Pendant une année entière, l’équipe « violences faites aux femmes » du HCE a dû s’immerger dans cet océan de romantisme qu’est la pornographie en ligne. Les résultats sont tout simplement exquis : 90 % des contenus pornographiques contiennent des actes de violence physique, sexuelle ou verbale envers les femmes. C’est sûr, on parle bien de torture et de barbarie, le genre de chose que l’on attendrait dans une comédie romantique.
Ils ont passé en revue des sites bien connus tels que Pornhub, Xvideos, Xnxx et Xhamster, où les titres de vidéos sont aussi subtils qu’une pelle dans la figure : « triple anal », « prolapse » (un mot qui fait rêver, n’est-ce pas ?), et bien d’autres perles.
Mais ce n’est pas tout, le rapport révèle même que plus de 1,4 million de vidéos affichent des pratiques sadiques. On parle de « choking » (l’étranglement, le truc préféré des amoureux), du bukkake, du gangbang, du gagging, de la torture, de l’électrocution, et même de la « surprise » (qui, apparemment, équivaut à un cadeau empoisonné).
Tout cela, bien sûr, se passe sous le doux label de la pornographie, comme si c’était un spectacle de cirque innocent. Les actes sont réels, tout comme les femmes qui les subissent. La souffrance, évidemment, est érotisée, pour ajouter une petite touche de délicatesse à la situation. Vraiment charmant, non ?
Des appels à l’action et un rayon d’espoir (enfin, presque)
Et voilà, la face sombre de l’industrie de la romance est exposée au grand jour. Un reportage récent à la télévision française a même qualifié l’industrie du porno de « business impitoyable », comme si c’était une surprise que les entreprises cherchent à gagner de l’argent.
Le HCE, toujours dans la finesse, sonne l’alarme et demande que l’on arrête ce « massacre à but lucratif ». Ils pointent aussi du doigt ces méchants contrats illégaux que les entreprises font signer aux femmes, les réduisant au silence tout en profitant d’elles et de leurs actes de violence.
Et les chiffres, ah, les chiffres ! La moitié des garçons de 12 ans visitent ces sites chaque mois. Tout cela crée une culture de la violence sexuelle, avec 42 % des garçons pensant que les filles aiment les agressions physiques dans leurs relations sexuelles. On dirait une belle époque pour les relations humaines, non ?
Pour régler cette crise, le HCE demande que les producteurs et les diffuseurs de ces contenus soient poursuivis en justice, car ils enfreignent le code pénal. Et ils ne sont pas en reste, déjà en train de juger des hommes dans une affaire de « French Bukkake ». Vous savez, rien de tel qu’un peu de romantisme en bande organisée.
Il est grand temps de mettre en place une « brigade de l’Internet » dédiée à la suppression de ces séquences de violence et de torture dans la pornographie, ainsi que des contenus terroristes et pédocriminels, plutôt que de pourchasser de simples citoyens privés de leur liberté d’expression !
La route vers le changement est longue, mais le HCE est prêt à se battre. En juin, ils ont trouvé 35 séquences illicites et pédopornographiques qui n’ont pas encore été retirées, parce que la protection de la dignité et des droits des femmes, c’est important, paraît-il. Quelle histoire passionnante !
Citation de Madame-Raleuse.com
Ce rapport du HCE révèle que derrière le rideau de l’érotisme se cache un spectacle d’horreur. Une leçon choquante sur le ‘romantisme’ de la pornographie en ligne.
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La censure des réseaux sociaux est de plus en plus forte … C’est juste incroyable de voir à quel point ils laissent la liberté d’expression fleurir.
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