Aujourd’hui, plongeons dans l’actualité avec l’œil aiguisé de Madame-Raleuse.com pour décortiquer une décision qui ne manque pas de faire grincer des dents. La France et son refus bien particulier de reconnaître le non-consentement comme viol sont au cœur de notre réflexion. Accrochez-vous, la critique acérée commence ici. (source : 20Minutes)
La France et son refus : Quel cachotier !
La France, pays adepte de la dissimulation derrière le masque des valeurs progressistes ! Emmanuel Macron, prétendu champion de l’émancipation féminine, a orchestré une manœuvre étonnante au sein de l’Union européenne. Car, sérieusement, qui aurait besoin d’une définition claire du viol basée sur le consentement ? La France, fidèle à ses vieux manuels juridiques poussiéreux, semble estimer que cette notion appartient au passé.
La Commission européenne, dans sa tentative d’harmoniser la réponse pénale aux violences faites aux femmes, a été contrecarrée par certains pays, dont la France, résolus à faire un pas en arrière. Pour eux, la question du viol ne concerne évidemment pas une institution aussi insignifiante que l’Union européenne. Pourquoi permettre à une entité aussi négligeable de s’immiscer dans les affaires intérieures françaises ?
Macron, le Maître du statu quo
Et bien sûr, qui d’autre que le grand maître Macron pour diriger cette manœuvre et déclarer que la France ne souhaite pas adopter la définition européenne du viol, basée sur l’idée farfelue de consentement ? Applaudissons, Mesdames et Messieurs, notre cher Président, pour ce choix éclairé qui proclame haut et fort : « Chevaliers français, continuez à jouer à votre jeu, l’UE ne dictera pas nos règles ».
Alors que d’autres nations progressent courageusement vers l’avenir, la France, fidèle à sa réputation d’irréductible Gaulois, défend avec zèle le droit à l’ambiguïté en matière de consentement. Qui a besoin de clarté dans ces affaires, n’est-ce pas ? Certainement pas ces femmes qui, selon la France, devront se contenter de l’interprétation floue des lois à la française.
Pendant que des députés européens secouent la tête face à cette coalition de refus, saluons la cohérence à la française, toujours prompte à se proclamer proeuropéenne tout en rechignant à étendre les pouvoirs de l’Union. Ah, la politique à la française, un art subtil des contradictions.
En résumé, bravo la France ! Continuez à briller par votre entêtement à rester dans l’ombre des avancées sociétales. Car, après tout, qui a besoin de progrès quand on peut simplement tourner le dos à la modernité avec un haussement d’épaules et un « C’est comme ça qu’on a toujours fait » ? Vive la France, terre de la liberté, de l’égalité, et de l’interprétation évasivement floue du consentement !
Citation de Madame-Raleuse.com
En France, le consentement semble être une notion aussi floue que les justifications derrière ce refus. Un pas en avant pour l’ambiguïté, un bond en arrière pour la justice.
Exprimez-vous !
Quelles sont, selon vous, les raisons derrière le refus de la France d’adopter la définition du viol basée sur le consentement ? Exprimez votre point de vue et participez à la réflexion sur les motivations sous-jacentes à cette décision.
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Attention, ici, l’actualité est revisitée avec une touche d’ironie et de second degré. Ce contenu est purement humoristique et n’a pas vocation à refléter une vérité absolue. Prenez-le pour ce qu’il est : une invitation à rire et à réfléchir, rien de plus ! 😏
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Et bien ,il est difficile de connaître la cause du refus , sans doute trop de personnes concernées par ce problème avec en tête macron et sa violeuse ( trop jeune par rapport à elle pour avoir eu un consentement éclairé) , Darmanin aussi est concerné et beaucoup d’autres. J’aurais plus apprécié qu’il dise non à l’alignement sur le gaz ou suivre ne pas suivre l’Europe sur sa genouflexion devant von der leyen ou devant les USA .