Attention, ici, l’actualité est revisitée avec une touche d’ironie et de second degré. Ce contenu est purement humoristique et n’a pas vocation à refléter une vérité absolue. Prenez-le pour ce qu’il est : une invitation à rire et à réfléchir, rien de plus ! 😏

Silence, on tue : bienvenue dans le monde merveilleux de la biosécurité industrielle

Elles sont en parfaite santé.
Elles broutent paisiblement dans leur champ, à cent mètres d’un foyer déclaré. Et pourtant, ce matin-là, une escouade de gendarmes débarque, bien casqués, bien briefés : mission abattage de masse.
Motif ? Elles sont « dans le périmètre ».
On ne teste pas. On n’écoute pas l’éleveur. On tape à la porte du vivant… et on tire à blanc sur la logique.

Le nouveau virus : la paranoïa réglementaire

Vous pensiez que seules les pandémies humaines déchaînaient les délires sanitaires ?
Bienvenue dans l’agriculture de l’absurde, où l’on massacre des bêtes saines à cause de « soupçons géographiques » et d’algorithmes agricoles dignes d’un mauvais roman dystopique.
Même Orwell aurait trouvé ça trop gros.

L’éleveur ? En garde à vue.

Parce qu’il résiste, pleure, ou tente de sauver ses vaches, il devient délinquant de la biodiversité.
Des hommes et des femmes attachés à leurs bêtes comme à leur famille, menacés, parfois placés en cellule, pendant que l’État envoie des escadrons vétérinaires avec l’âme d’un huissier et le cœur d’un robot.

Et pendant ce temps… les labos se frottent les mains

Pendant qu’on tue à tour de bras des animaux qui ne demandent qu’à ruminer tranquilles, la viande de synthèse se prépare dans les petits tubes bien propres des usines américaines.
Et qui est derrière ?
🤖 Bill Gates, encore et toujours, l’homme qui investit dans les vaccins, les OGM, les steaks de laboratoire et les brevets sur la pluie.
Bientôt dans votre assiette : un steak sans vache, un lait sans pis, un monde sans nature.

Mais c’est pour notre bien, voyons.

Bonus toxique : pendant qu’on tue chez nous, on importe ailleurs

Pourquoi garder une vache saine française quand on peut :

  • importer du bœuf brésilien nourri aux hormones,
  • signer des accords avec le Canada pour des cargaisons de viande traitée au ractopamine,
  • et sacrifier nos élevages au nom de la “concurrence équitable” ?

C’est comme si vous brûliez votre maison parce que votre voisin a eu des punaises de lit.

La France sacrifiée sur l’autel du marché mondial

Le cheptel français ? Un obstacle.
L’éleveur ? Un suspect.
La vache ? Une gêne.
Et bientôt, on remplacera tout ce petit monde par des imprimantes à protéines et des QR codes sur l’emballage.

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