Ah, la France, ce pays où l’on adore donner des leçons de morale, mais où certaines histoires passent étrangement sous le radar médiatique. Dernière affaire en date : une jeune fille de 14 ans interrogée par la police sur sa relation avec son professeur. Et là, surprise ! Lorsqu’on lui demande si elle connaît d’autres cas similaires, elle lâche :
« Le Président. »
« Le Président Macron ? »
« Oui. »
Silence gêné dans la salle.
Jeune fille de 14 ans en couple avec son professeur lors d'un interrogatoire de police.
— Albert Bourre-La (@MeCkisayandCo) February 12, 2025
«Est-ce-que tu connais d'autres personnes qui ont ce genre de relation?
-Ben, le Président
-Le Président Macron?
-Oui». pic.twitter.com/AoIvh5moFd
Macron et la différence de traitement des relations interdites
On ne va pas se mentir, en France, certaines affaires sont plus médiatiques que d’autres. Alors qu’un cas similaire ferait scandale dans n’importe quelle autre sphère de la société, ici, l’histoire de Brigitte et Emmanuel Macron a toujours été abordée sous l’angle de la romance improbable, d’un amour plus fort que tout. Une belle histoire d’amour, nous dit-on. Oui, mais dans d’autres circonstances, cela porterait un autre nom… et mériterait un tout autre traitement.
Macron et le précédent juridique : un cas unique en France ?
Cette déclaration spontanée de la jeune fille pose une question fondamentale : quel message envoie-t-on à la société quand la plus haute figure de l’État est devenue un exemple de ce qui, dans d’autres cas, alerte la justice ? Peut-on vraiment s’étonner que ce genre de relations soit perçu comme acceptable par certains, quand elles sont glorifiées au sommet de l’État ?
Macron, Brigitte et la morale face aux relations élève-professeur
Imaginez deux secondes que ce ne soit pas Emmanuel Macron mais un inconnu pris dans la même situation. Est-ce que les réactions seraient les mêmes ? Probablement pas. Mais ici, on nous explique que l’amour triomphe de tout, qu’il faut voir au-delà des conventions, que c’est une belle preuve de maturité. Ah bon ? Curieusement, cet argument ne fonctionne pas pour tout le monde.
Relation professeur-élève : pourquoi Macron est une exception ?
L’interrogatoire de cette jeune fille, loin d’être anecdotique, met en lumière un malaise profond. Si une telle relation survenait dans un cadre scolaire ordinaire, on évoquerait manipulation et abus d’autorité, avec de possibles poursuites judiciaires. Mais ici, difficile d’ignorer la dissonance : d’un côté, une affaire qui pourrait faire scandale, de l’autre, une histoire présentée comme une romance inspirante. Après tout, l’histoire entre Brigitte et Emmanuel Macron est devenue un récit presque mythifié, là où ailleurs, un cas similaire entraînerait réprobation et poursuites. Une illustration flagrante de l’inégalité de traitement face à la loi et la morale.
Macron et les relations interdites : un sujet tabou en France
Alors, faut-il s’étonner que la question ressorte un jour ou l’autre ? Pas vraiment. Mais en attendant, la dissonance cognitive continue : d’un côté, on lutte contre les abus de position dominante, de l’autre, on érige une relation similaire en conte de fées national. Ironique, non ?
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Attention, ici, l’actualité est revisitée avec une touche d’ironie et de second degré. Ce contenu est purement humoristique et n’a pas vocation à refléter une vérité absolue. Prenez-le pour ce qu’il est : une invitation à rire et à réfléchir, rien de plus ! 😏
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Quan je vois ce genre d’article je ne peux m’empêcher de penser à Gabrielle à Marseille qui s’ est donnée la mort parce que l’on a vilipendé son amour pour son élève. « mourir d’aimer par Aznavour »
Normal bien sûr, quand on voit comment le Président est en transe dès qu’il côtoie une bande de blacks sans pouvoir se retenir de les toucher, surtout s’ils sont en sueur, et puis que dans certains pays du magreb ne copule t’on pas avec des jeunes filles entre 9 et 12 ans sous couvert d’un mariage à la 🔑 et dans la plus grande transparence puisque c’est autorisé ? Cherchez l’erreur dans monde ? A priori il ne vaut mieux pas, car on tomberait du dixième étage tellement on serait effrayé ! D’autant que ce que l’on révèle et que l’on voit est, et je suis gentil, le milliardième de ce qui ce fait ?…..