Attention, ici, l’actualité est revisitée avec une touche d’ironie et de second degré. Ce contenu est purement humoristique et n’a pas vocation à refléter une vérité absolue. Prenez-le pour ce qu’il est : une invitation à rire et à réfléchir, rien de plus ! 😏

États-Unis : et maintenant, l’extrême droite veut retirer le droit de vote aux femmes

Ah, les conservateurs américains… Après avoir joué avec les utérus en supprimant le droit à l’avortement, voilà qu’ils lorgnent sur les isoloirs. Oui, le droit de vote des femmes est ouvertement remis en cause par des proches de Trump.

Pete Hegseth, secrétaire d’État à la Défense (et quatrième dans l’ordre de succession présidentielle), a jugé malin de partager un reportage de CNN où des pasteurs radicaux appellent ni plus ni moins à l’abolition du 19ᵉ amendement, celui qui garantit le droit de vote des femmes depuis 1920. Pendant ce temps, il commente : « Tout le Christ, pour toute la vie ». Traduction : on revient deux siècles en arrière, mais avec un joli vernis biblique.

Quand la démocratie devient une option à géométrie variable

Ces beaux prêcheurs nous expliquent que « trop de femmes votent, trop de démocratie, trop de droits ». Et que faire dans ces cas-là ? Simple : on supprime la moitié de l’électorat. Une méthode radicale, certes, mais diablement efficace pour s’assurer que le camp conservateur ne perde plus jamais une élection.

Aux États-Unis, on a déjà testé la case retour en arrière avec l’avortement. Résultat : dans une quinzaine d’États, les femmes risquent la prison pour avoir voulu disposer de leur corps. Alors pourquoi pas tenter la même recette avec le bulletin de vote ?

Et la France dans tout ça ?

L’écrivaine Anne-Cécile Mailfert (fondatrice de la Fondation des Femmes) alerte : « Ne croyez pas que ça ne peut pas arriver en France ! » (source : Fakir) Et elle n’a pas tort. Les enquêtes montrent que les jeunes Françaises votent plus souvent à gauche, avec des priorités comme l’écologie, les droits sociaux ou les minorités. Bref, tout ce que l’extrême droite rêve d’étouffer. Supprimer leur voix, c’est mathématiquement renforcer le pouvoir des conservateurs.

Conclusion : retour vers le futur

Si on avait dit en 2020 que l’avortement allait être supprimé dans une partie des États-Unis, beaucoup auraient ri. Aujourd’hui, c’est une réalité. Alors imaginer un futur où les femmes ne votent plus ? Ce n’est pas de la science-fiction, c’est une option qui circule dans les hautes sphères du pouvoir américain.

En attendant, il reste un espoir : que la moitié de l’humanité à qui on veut retirer la parole se mette à hurler assez fort pour qu’on l’entende encore des deux côtés de l’Atlantique.

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