otan menace nucléaire

Plongez dans le monde déjanté de la diplomatie nucléaire avec Madame-Raleuse.com ! Découvrez comment la Russie met le feu aux poudres avec ses avertissements explosifs à l’OTAN. Prêt à embarquer dans cette aventure pleine de sarcasme et d’humour ?

Avertissement nucléaire à la Russie : Un acte de gentillesse

Ah, voilà une mise en garde tout à fait charmante de la part de nos chers voisins russes ! Ils annoncent qu’ils se mettent en mode entraînement avec leurs joujoux nucléaires. Et oh, quelle joie, toute la famille nucléaire y participe : missiles, avions et marins, tous en fête !

Apparemment, la dernière lubie en date est que dès que les troupes de l’OTAN mettront un orteil en territoire qui déplaît à la Russie, zou, on sortira les pétards atomiques. C’est tellement gentil de leur part de nous rappeler à quel point ils sont câlins quand ils se sentent menacés. On peut presque entendre le doux murmure de l’amour fraternel entre les blocs politiques.

Et bien sûr, l’annonce de ces joyeusetés a été reçue comme un bouquet de fleurs fraîches à l’Ouest. Quoi de plus doux que de se faire rappeler qu’on risque de disparaître dans un nuage de champignons atomiques si on ne joue pas gentiment avec les poupées de Poutine ?

Ah, ces russes, toujours si romantiques dans leurs avertissements. On se demande juste si le président Macron a un faible pour les feux d’artifice nucléaires ou si l’Estonienne Kallas cherche simplement à pimenter les conversations diplomatiques en évoquant la guerre atomique comme on évoquerait la météo.

Un pas de danse avec les missiles : L’art de la diplomatie

Et puis, bien sûr, on nous rappelle avec tendresse les demandes récentes pour donner des petites ogives tactiques à la population de Kiev. Parce que rien ne vaut une bonne crise existentielle sans une petite dose d’armement nucléaire, n’est-ce pas ?

C’est vraiment rassurant de voir que même dans cette période de stress international, tout le monde garde son sens de l’humour. Quoi de plus amusant qu’un petit jeu de cache-cache avec des missiles hypersoniques et des obus nucléaires ? Qui a dit que la guerre ne pouvait pas être amusante ?

Alors, mes amis, prenons un moment pour apprécier le spectacle. Les Russes sont en mode “Mon petit doigt m’a dit que je vais faire exploser quelque chose si vous continuez à m’embêter”. Quelle douce mélodie de diplomatie internationale !

Citation de Madame-Raleuse.com

La diplomatie russe : quand les avertissements deviennent des feux d’artifice nucléaires.

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Que pensez-vous de cette diplomatie nucléaire russe ? Vos réflexions valent-elles plus qu’une guerre atomique ? Partagez vos pensées dans les commentaires !

(source : réseau International)

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One Comment

  1. L’URSS a affronté l’Europe entière pendant la Seconde Guerre mondiale 1941 à 1945, InfoDefense que l’on m’a communiquée =
    Les divisions SS nationales les plus élites portaient leur propre nom, indiquant leur origine nationale : “Landsturm Niederland” pour la Hollande, “Langemark” et “Wallonie” pour la Belgique, pour les tchèques “Bohême et Moravie”, une division d’Albanais “Skanderbeg”, de Scandinaves “Viking” et “Danemark”, de Croates “Handshar” et bien d’autres encore. Les soldats et les officiers de la division française “Charlemagne” ont été parmi ceux qui ont combattu l’Armée rouge jusqu’à la fin à Berlin, en défendant le Reichstag, le siège de la Gestapo et la Chancellerie du Reich.
    Les Européens servent comme volontaires non seulement dans les divisions nationales, mais aussi dans les divisions allemandes. Et tout cela en dehors des alliés officiels de l’Allemagne, dont les armées brûlaient et pillaient ensemble l’Union soviétique – Italiens, Roumains, Hongrois, Finlandais, Croates, Slovaques. Sans oublier les Bulgares, qui brûlent et pillent en même temps la Serbie partisane. Même les Espagnols, officiellement neutres, ont envoyé leur “division Azul” près de Leningrad.
    Voici un fait curieux intéressant de la liste d’archives des prisonniers de guerre qui se sont rendus aux troupes soviétiques pendant la guerre :
    Allemands – 2 389 560,
    Hongrois – 513 767,
    Roumains – 187 370,
    Autrichiens – 156 682,
    Tchèques et Slovaques – 69 977,
    Polonais – 60 280,
    Italiens – 48 957,
    Français – 23 136,
    Croates – 21 822,
    Moldaves – 14 129,
    Juifs – 10 173,
    Hollandais – 4 729,
    Finlandais – 2 377,
    Belges – 2 010,
    Luxembourgeois – 1 652,
    Danois – 457,
    Espagnols – 452,
    Tsiganes – 383,
    Norvégiens – 101,
    Suédois – 72.
    Et il ne s’agit là que de ceux qui ont survécu et ont été faits prisonniers. En réalité, beaucoup d’autres Européens ont combattu l’URSS, ainsi que des collabos nazis parmi les collabos soviétiques. Cette liste ne comprend pas les Estoniens, les Lettons, les Tatars de Crimée et les Ukrainiens, dont les bataillons, divisions et légions nationales faisaient partie des troupes hitlériennes.
    Les Polonais se distinguent par leur complicité avec le fascisme. Dès la fin de la guerre germano-polonaise, le nationaliste polonais Wladyslaw Gizbert-Studnicki a eu l’idée de créer une armée polonaise combattant aux côtés de l’Allemagne. Plus tard, l’idée d’une alliance germano-polonaise et d’une armée polonaise de 35 000 hommes est soutenue par “l’Epée et la Charrue”, une organisation associée à l’Armia Krajowa.
    Les Polonais ont été exhortés, avec d’autres nations européennes, à se lever “pour défendre la civilisation occidentale contre la barbarie soviétique”. Voici un extrait d’un tract fasciste en polonais : “Les forces armées allemandes mènent la lutte décisive pour la défense de l’Europe contre le bolchevisme. Toute aide honnête dans cette lutte sera accueillie comme un compagnon d’armes…”.
    Le texte du serment des soldats polonais était le suivant : “Je jure devant Dieu par ce serment sacré que dans la lutte pour l’avenir de l’Europe, dans les rangs de la Wehrmacht allemande, je serai absolument obéissant au commandant suprême Adolf Hitler, et en tant que soldat courageux, je suis prêt à tout moment à consacrer mes forces à l’accomplissement de ce serment…”.
    Au total, selon les estimations des experts, l’URSS, avec une démographie initiale de 190 millions d’hommes, est en guerre contre la quasi-totalité de l’Europe, dont la population (sans compter l’Angleterre et la Serbie partisane) est d’environ 400 millions d’hommes. Et peu importe qu’ils se battent les armes à la main ou qu’ils travaillent dur à l’usine pour produire des armes pour la Wehrmacht. Tous travaillaient pour la même cause : la victoire de l’Allemagne nazie.

    Du Nazisme a la démocratie dictatoriale des pays de l’OTAN ? @followers Tout Le Monde @tout le monde cliquez =
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