Boualem Sansal emprisonné : l’Algérie se ridiculise encore

L’Algérie, pays des paradoxes où les libertés d’expression ont autant de chances de survivre qu’une glace sous le soleil de Tamanrasset, a frappé fort une fois de plus. En détenant l’écrivain Boualem Sansal pour des propos jugés « subversifs », elle rappelle au monde que, dans son régime, penser est un crime. Mais bon, peut-être que la justice algérienne pense que la littérature est une arme de destruction massive… On ne sait jamais, avec un livre, on pourrait éclairer des esprits !

Pourquoi cette arrestation est un naufrage pour l’Algérie

Une atteinte directe à la liberté d’expression

Boualem Sansal, un homme de 75 ans, a osé donner son opinion sur l’histoire et les frontières algériennes. Et paf ! Mandat de dépôt immédiat pour « atteinte à l’intégrité territoriale ». Cette arrestation, grand moment de théâtre politique, a été provoquée par des déclarations soi-disant « controversées » de Boualem Sansal. Lors d’un entretien avec le média français Frontières, l’écrivain a osé suggérer que certaines régions de l’ouest algérien, comme Tlemcen, Oran et Mascara, appartenaient historiquement au Maroc avant l’arrivée des colons français. (source : TSA-Algérie) Sacrilège ! Les autorités algériennes, toujours promptes à s’offusquer, ont immédiatement dégainé l’accusation d’atteinte à l’intégrité territoriale, parce qu’évidemment, une phrase dans une interview menace tout un pays. Visiblement, le gouvernement confond critique historique et coup d’État armé.

Une stratégie d’intimidation qui se retourne contre elle

En réprimant une voix comme celle de Sansal, le régime algérien s’assure une belle place au panthéon des dictatures modernes. Résultat ? Une indignation internationale et un Macron qui s’improvise défenseur des droits de l’Homme, accusant l’Algérie de se « déshonorer ». (source : Le figaro) Ironique, non ? Quand même le gouvernement français paraît moralement supérieur…

Les conséquences pour la société algérienne

L’écrivain est aujourd’hui détenu dans des conditions qui inquiètent son avocat et la communauté internationale. Mais le message à la population algérienne est clair : ne pensez pas, ne parlez pas, ou vous pourriez bien finir derrière les barreaux. C’est ce qu’on appelle une « politique de la peur » bien rodée.

L’ironie mordante d’une telle situation

C’est dans ce genre d’événements qu’on se rend compte que les dirigeants algériens ont un sens de l’humour bien particulier. Ils parlent de souveraineté nationale tout en prouvant que leur système judiciaire n’est qu’une farce tragique. Pendant ce temps, Boualem Sansal, reconnu et apprécié à l’étranger, devient un symbole de résistance intellectuelle.

Conclusion

Si l’Algérie voulait démontrer qu’elle était une démocratie moderne, c’est raté. En emprisonnant un écrivain pour ses mots, elle prouve seulement que son régime est incapable de tolérer le moindre souffle de liberté. Alors, la question reste : combien de temps les Algériens devront-ils encore subir ce climat oppressant avant que les choses ne changent ?

Citation

Dans un pays où les mots font peur, les écrivains deviennent des criminels et les livres des armes de rébellion.

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Dites-nous ce que vous en pensez : un écrivain doit-il se taire pour éviter la prison ? Partagez cet article pour dénoncer cette injustice.

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Attention, ici, l’actualité est revisitée avec une touche d’ironie et de second degré. Ce contenu est purement humoristique et n’a pas vocation à refléter une vérité absolue. Prenez-le pour ce qu’il est : une invitation à rire et à réfléchir, rien de plus ! 😏

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5 commentaires sur « Boualem Sansal emprisonné : l’Algérie se ridiculise encore »

  1. Bonjour Madame-Râleuse,
    Pour cette fois-ci , c’est vraiment raté… Tu ne fais que reprendre les clichés que véhicule l’extrême droite ! Je suis un lecteur de Boualem Sansal et sa détention est excessive. La France ne peut donner de leçon: observez ce qu’elle a fait à Kemi Seba, un militant ,des causes africaines.
    Boualem Sansal a fait des déclarations stupides (Voir l’avis de Benjamin Stora)…Etonnant ? non ? Ses propos lui ont été susurrés …Et il a foncé . Il est même con, con… puisque après ses déclarations , il s’était rendu de son propre chef à Alger après avoir, la veille, dîné avec le sulfureux ancien ambassadeur de France à Alger … qui lui aurait dit: vas-y tu es intouchable !

    Je peux écrire un article objectif !

    1. Comme dis je n’ai pas suivi l’histoire donc difficile pour moi d’avoir les infos que vous vouliez partager.. Mais je peux refaire mais il me faut une base pour être sûr d’être dans le juste
      Après c’était sarcastique et humoristique cela peux sembler perturber

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