budget agicole 2025

Le budget agricole 2025 annonce des coupes drastiques qui secouent les sénateurs et menacent nos fermes. (source : Public Sénat) Découvrez l’analyse mordante de Madame-Raleuse.com et préparez-vous à être surpris !

La baisse du budget agricole : quand les Sénateurs perdissent la moisson de leur calme

Ah, le doux parfum des négociations budgétaires ! Cette année, le ministère de l’Agriculture, de la Souveraineté alimentaire et de la Forêt, sous la houlette de la députée LR Annie Genevard, se prépare à souffler sous les annonces budgétaires. Avec un monde agricole déjà bien épuisé par des crises en cascade, les sénateurs observent avec une pointe d’inquiétude la perspective de coupes bien senties dans le prochain budget.

Le grand dérapage des finances publiques oblige l’exécutif à jouer les funambules sur le fil du rasoir budgétaire. Le budget 2025, fruit des labeurs du gouvernement précédent, s’établit sur un gel des dépenses à 492 milliards d’euros. Comme dans un jeu de Monopoly où certains ministères accumulent les propriétés tandis que d’autres voient leurs ressources se tarir, l’Agriculture se retrouve en première ligne des réductions, avec une baisse annoncée de près de 13 milliards d’euros si l’on inclut la Politique Agricole Commune (PAC). Rien de tel pour mettre du piment dans les réunions parlementaires, n’est-ce pas ?

Les chiffres parlent d’eux-mêmes : -9,5 % pour les autorisations d’engagement et -4,5 % pour les crédits de paiement. Autant dire que les agriculteurs devront peut-être se contenter de compter leurs moutons plutôt que de voir leurs projets se concrétiser. Mais rassurez-vous, le sénateur LR Laurent Duplomb tente de calmer les ardeurs en soulignant que malgré tout, il reste encore « beaucoup de choses » à faire avec les 300 millions d’euros de baisse ajustée à l’inflation. Une promesse aussi solide qu’un silo à grains en plein ouragan.

Pendant ce temps, les syndicats agricoles, tels que la FNSEA et Les Jeunes agriculteurs, expriment leur incompréhension face à ces décisions. Après avoir organisé des manifestations dignes des plus grands blockbusters européens, ils se retrouvent face à une feuille de route qui ressemble plus à une comédie qu’à un plan sérieux. Les attentes sont hautes : renouvellement des générations, compétitivité, simplification administrative… Autant de demandes qui semblent s’évanouir comme des graines dans un champ aride.

Les défis persistants et les espoirs modestes

La nomination d’Annie Genevard suscite également plus d’interrogations qu’un labyrinthe sans sortie. Apparemment certains sénateurs espéraient peut-être une experte en jonglage budgétaire ou une championne des discussions avec les vaches, mais ils se retrouvent avec une ministre dont les compétences spécifiques en agriculture restent à prouver. Pascale Gruny, sénatrice LR de l’Aisne, exprime son étonnement et son inquiétude quant à la capacité de la nouvelle ministre à naviguer dans ces eaux tumultueuses.

En fin de compte, le budget agricole 2025 promet d’être une véritable épreuve de force, où sarcasme et humour seront les meilleurs alliés des agriculteurs face à cette tempête financière. Les sénateurs, quant à eux, devront peut-être jongler entre les attentes des syndicats et les contraintes budgétaires, espérant que la récolte ne sera pas trop amère cette année.

Claude Raynal, président de la commission des finances du Sénat, pointe du doigt l’incertitude européenne et la nomination d’un commissaire à l’Agriculture venu tout droit du Luxembourg. Parce que pourquoi se contenter d’un ministre national quand on peut avoir un touche-à-tout européen, n’est-ce pas ?

En résumé, le budget agricole 2025 promet d’être une montagne russe d’émotions, où l’humour et le sarcasme seront peut-être les seules choses qui sauveront les agriculteurs de cette tempête financière. Accrochez-vous bien, ça va secouer !

Citation de Madame-Raleuse.com

Réduire le budget agricole, c’est récolter l’incertitude dans les champs de demain.

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One Comment

  1. La triste réalité, Un paysan se suicide chaque jour (qui s’indigne) = En 1970 il y avait 4 millions de paysans en France, en 2000 1 millions de paysans, en 2024 350.000 paysans, le plus grand licenciement organisé et en 1970 nous étions autonome à 95% pour la nourriture aux français et en 2024 nous importons 60% de la nourriture nécessaire à la France dont du lait de Nouvelle Zélande. Mais où est l’écologie et la cohérence?

    « Tous ces mensonges en France qui vous font croire que l’économie se porte bien” – Myret Zaki, qui s’indigne ?, cliquez pour écouter= https://www.youtube.com/watch?v=9u_UrufDdAI

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