Dans cette rubrique ” Ceux qui ne risque RIEN”, Madame-Raleuse.com nous emmène en plein cœur du procès de Nicolas Sarkozy lié à l’affaire Bygmalion, maniant son sarcasme avec brio et son style percutant ! (source : L’Humanité)
Le suspense insoutenable du procès
Ah, la justice française, toujours prompte à rendre ses verdicts avec la rapidité d’un escargot sous somnifères ! Nicolas Sarkozy, l’ancien président, risque désormais une peine faramineuse d’un an de prison avec sursis. Oui, vous avez bien entendu, un an avec sursis, une punition qui fera trembler tous les criminels endurcis.
Apparemment, Sarkozy a eu l’audace de dépasser le plafond des dépenses de campagne. Horreur et damnation ! Comme si organiser une campagne présidentielle n’était pas déjà assez cher. Mais non, le monsieur a osé flirter avec les limites financières et s’est fait prendre la main dans le pot de confiture par l’intransigeant ministère public.
Parlons maintenant de Bygmalion, cette entreprise de communication qui semble avoir pris des cours de jonglage financier. Avec un système de double facturation, ils ont réussi à faire disparaître 16,2 millions d’euros comme par magie. Un tour de passe-passe digne des plus grands illusionnistes, mais hélas, la justice ne partage pas l’amour du spectacle.
Les coups de théâtre et les accusations croisées
Tout ça pour une campagne qui a coûté la modique somme de 42,7 millions d’euros. Mais qui se soucie du plafond légal de dépenses quand on peut jouer au monopoly avec l’argent de la campagne présidentielle ?
Les acteurs de ce drame financier se rejettent mutuellement la patate chaude. Jérôme Lavrilleux, l‘ex-bras droit de Jean-François Copé, pointe du doigt son patron et crie au complot. Mais bien sûr, tout a été fait “au profit de Nicolas Sarkozy”, comme si la campagne était un gigantesque cadeau d’anniversaire.
Quant à la défense de Sarkozy, elle est aussi solide qu’un château de cartes par temps venteux. “Je conteste vigoureusement toute responsabilité pénale”, clame-t-il. Ah, le bon vieux “je ne savais pas”, une excuse aussi crédible qu’un éléphant se cachant derrière un brin d’herbe.
En fin de compte, peu importe le verdict de ce procès en appel. Nicolas Sarkozy, le marathonien de la justice, n’en a pas fini avec les tribunaux. Après tout, qui n’aime pas une bonne série judiciaire à rebondissements ? Restez branchés, car dans un an, il sera de retour pour le procès des possibles financements libyens de sa campagne de 2007. Le suspense est à son comble, et la justice française nous offre un spectacle digne d’un feuilleton à suspens.
Citation de Madame-Raleuse.com
Un an avec sursis pour Nicolas Sarkozy : la justice, cette comédie où les politiciens ont des passe-droits plus grands que le budget d’une campagne présidentielle.
Exprimez-vous !
Quelle est votre opinion sur la sévérité des peines requises dans le procès Bygmalion, notamment le fameux an avec sursis pour Nicolas Sarkozy ? Pensez-vous que la justice a réellement été rendue équitablement ou est-ce une nouvelle illustration des privilèges politiques ? Partagez vos réflexions, vos commentaires sont les bienvenus.
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