Attention, ici, l’actualité est revisitée avec une touche d’ironie et de second degré. Ce contenu est purement humoristique et n’a pas vocation à refléter une vérité absolue. Prenez-le pour ce qu’il est : une invitation à rire et à réfléchir, rien de plus ! 😏

COVID, ARNm et aveux tardifs : quand les “complotistes” avaient juste un peu d’avance

Ah, quelle époque bénie où l’on se faisait traiter de fou dangereux parce qu’on osait dire que le remède pouvait être pire que la maladie ! Aujourd’hui, c’est un conseiller principal du HHS (l’équivalent américain du ministère de la Santé) qui confirme ce que beaucoup suspectaient : les vaccins à ARNm n’étaient pas le Graal promis, mais un joyeux cocktail de risques emballés dans du marketing sanitaire.

Robert F. Kennedy Jr., nouveau patron du HHS, vient d’annoncer l’annulation de 22 contrats liés aux vaccins ARNm. Motif ? « Plus de risques que de bénéfices ». (source : France Soir) Traduction : on a claqué des milliards dans une techno qui, non seulement ne stoppe pas les virus respiratoires, mais en prime vous laisse avec des effets indésirables dignes d’une notice pharmaceutique de 12 pages.

Les “complotistes” 1 – Les autorités 0

Le Dr Steven Hatfill, conseiller principal, a lâché la phrase que personne n’osait prononcer il y a encore deux ans :
👉 « Il était plus dangereux de se faire vacciner que de contracter la COVID-19. »
Et ce n’est pas tout : méta-analyses, études réanalysées, données d’autopsies… tout pointe vers un rapport bénéfice/risque catastrophique.

Autrement dit, les “théories du complot” étaient surtout des théories avec un peu trop d’avance sur le calendrier.

Ravages biochimiques et gènes en pagaille

Le Dr Hatfill parle même de « ravages biochimiques » : expression génétique chamboulée, risques cardiovasculaires en hausse, myocardites, AVC… bref, tout le catalogue.
Et pendant ce temps, souvenez-vous : Pfizer voulait cacher ses données cliniques pendant 75 ans. Ça tombait bien : on ne serait plus là pour râler.

Et maintenant ?

Les États-Unis coupent les vivres aux vaccins à ARNm pour les virus respiratoires. Mais le vrai coup de théâtre serait de les retirer totalement du marché. Car si les données sont aussi accablantes que le disent Hatfill et ses collègues, il n’y a plus d’argument pour continuer.

La morale de l’histoire ?
Ce qui était hier estampillé “fake news” devient aujourd’hui “conférence de presse”. Comme quoi, la vérité finit toujours par remonter à la surface… un peu comme les effets secondaires.

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