École Louis-Lumière : Entre éviction olympique et déménagement incertain

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École Louis-Lumière éviction olympique

Dans son article exclusif, Madame-Raleuse.com plonge au cœur des tumultes de l’École Louis-Lumière, où les Joies de l’éviction et les incertitudes du déménagement défient toute logique et patience. (source : France Info)

Les joies de l’éviction

Ah, la belle histoire de l’École nationale supérieure Louis-Lumière et sa dernière rentrée à la Cité du cinéma, en Seine-Saint-Denis ! C’est tellement romantique de voir cette éviction « imposée » pour laisser place au restaurant des athlètes olympiques. On sent l’amour dans l’air, n’est-ce pas ?

D’ailleurs, les étudiants et enseignants ont été tellement ravis d’apprendre que leur école allait être éjectée pour faire de la place aux sportifs qu’ils ont organisé une petite fête avec banderoles et pancartes en mars dernier. Quelle joie de se faire déloger de son chez-soi, n’est-ce pas ?

Mais rassurez-vous, chers étudiants et enseignants, on vous a promis un retour « encore flou » à la Cité du cinéma après les Jeux olympiques. Bien sûr, rien de mieux que de vivre dans l’incertitude totale concernant son avenir, n’est-ce pas ?

Le déménagement définitif… ou pas

Et puis, il y a eu ce déménagement provisoire… enfin, définitif… ou peut-être pas. Le directeur de l’établissement nous a joué un petit numéro de prestidigitation en octobre 2022, assurant que tout serait réglé et que l’école reviendrait après les Jeux. Puis, en janvier, surprise ! « L’école ne reviendra pas à la Cité du Cinéma après les Jeux olympiques », nous annonce-t-on. Ah, ces directeurs qui aiment nous tenir en haleine, c’est tellement amusant !

Et bien sûr, les enseignants et étudiants se sont dit : « Pourquoi pas déménager sur plusieurs sites pendant quelques mois ? C’est bien connu, les négociations, c’est comme une partie de Monopoly, on peut se permettre de changer les règles en cours de route, pas de problème.

Finalement, après moult rebondissements, voilà que le déménagement « définitif » est devenu provisoire à nouveau. Victoire ! Ou pas. Mais au moins, on peut se réjouir que le loyer ait été renégocié à la baisse, de 3,5 millions à 2 millions d’euros par an. Rien de mieux que de jouer au marchandage avec l’éducation, n’est-ce pas ?

Tout ça pour dire que l’École nationale supérieure Louis-Lumière est une source inépuisable de comédie. Entre les revirements, les promesses floues et les tensions, c’est comme regarder un film à suspense qui ne se termine jamais. Ah, le monde merveilleux de l’enseignement supérieur !

Exprimez-vous !

Que pensez-vous de la manière dont l’École nationale supérieure Louis-Lumière gère cette situation de déménagement incertain et de son impact sur les étudiants et enseignants ? Partagez vos réflexions dans les commentaires ci-dessous

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