Ah, la poésie du progrès !
Aux Pays-Bas, un symbole majestueux de la transition écologique, une éolienne géante flambant neuve, haute comme un immeuble de 30 étages, vient de s’effondrer.
Et pas à cause d’un sabotage, d’un pigeon suicidaire ou d’un défaut technique non — non, à cause du vent.
Tu sais, ce truc qu’elle est censée apprivoiser.
Quand le vent dit : “Pas dans mon ciel, merci.”
L’ironie est d’une perfection mécanique.
Les ingénieurs avaient tout prévu : la puissance, le rendement, la connectivité, même le tweet d’inauguration avec “#GreenFuture”.
Mais manifestement, personne n’a demandé son avis à Éole.
Résultat : une tige d’acier de 200 tonnes qui plie comme une paille géante, sous l’effet de ce qu’on appelle — attention, terme technique — le vent fort.
Pays-Bas : Une éolienne géante s'écrase au sol à cause, à cause… du vent.pic.twitter.com/mjYAvYTZuT
— DIRECT.NEWS (@_Direct_News) October 28, 2025
L’écologie qui part en morceaux
Le plus savoureux, c’est la réaction officielle :
“Un événement exceptionnel que nous allons analyser pour en tirer des enseignements.”
Traduction : “On ne pensait pas que le vent… soufflait autant.”
Eh oui.
Construire des moulins à vent de 250 mètres dans un pays où le vent est… constant, fallait oser.
Les Pays-Bas viennent d’inventer l’auto-sabotage climatique.
Transition énergétique ou transition comique ?
Entre les voitures électriques qui brûlent, les panneaux solaires qui fondent et les éoliennes qui s’effondrent, la planète doit bien rigoler là-haut.
Mais rassurez-vous, on nous expliquera bientôt que c’est la faute du changement climatique :
Trop de vent tue le vent.
Et pendant ce temps-là, les contribuables, eux, continuent de financer la “croissance verte”… même quand elle s’écrase.
Bienvenue dans le XXIe siècle où le progrès a perdu ses boulons.
