La rumeur court, les marchés frémissent, Bercy transpire : la France, fière héritière de Colbert, pourrait bien finir comme une PME en liquidation judiciaire. Et ce n’est pas nous qui le disons, c’est le FMI, le genre de boîte qui ne se déplace que quand l’odeur de cadavre budgétaire devient trop forte.
« Mise sous tutelle » : le mot qui donne des boutons à Bercy (et des sueurs froides à Macron)
Pendant des années, parler d’une mise sous tutelle de la France, c’était comme évoquer une invasion de l’UE par des extraterrestres végans pilotés par Greta Thunberg : impensable. Et pourtant… le FMI lui-même vient de lâcher le mot qui fait tousser dans les salons dorés de l’Élysée : oui, c’est envisageable. (source : BFMTV)
Mais ne paniquez pas tout de suite, chers Gaulois réfractaires : avant que les costards-cravates de Washington ne débarquent, la BCE se chargera de nous mater façon techno-camarade. Avec son joli programme OMT — comprendre « on vous achète vos dettes si vous acceptez de vous faire fouetter avec un plan d’austérité » — elle est prête à faire pleuvoir les milliards… en échange de quelques sacrifices humains (votre retraite, vos services publics, vos nerfs).
Trop gros pour tomber ? Ou trop bête pour se redresser ?
La France, ce bon vieux Frankistan, est ce qu’on appelle « trop gros pour tomber ». Mais aussi, apparemment, « trop têtu pour être réparé ». Avec 5,8 % de déficit en 2024, et un gouvernement qui nous promet un retour à 3 %… en 2029 (LOL), autant dire que l’UERSS ne retient plus ses ricanements.
Bruno Le Maire, dans un élan d’anticipation géniale, nous avait déjà fait le teaser : si un jour le RN ou la NFP arrive au pouvoir, c’est FMI-direct. Spoiler alert : même sans eux, on y va tout droit.
Le plan d’austérité ? Spoiler : ça pique
Ce qui nous attend ? Une purge. Une vraie. Pas celle de vos intestins après un kebab douteux à 4h du mat. Non, non. Une réduction de 10 points de PIB en dépenses publiques. Traduction : coupez tout ce qui dépasse. Les aides, les hôpitaux, l’éducation… et probablement vos illusions.
Et bien sûr, on ressort le grand classique : la réforme des retraites, avec montée en gamme de l’âge légal. Bientôt, vous partirez à la retraite en même temps que votre petit-fils entre en école d’ingé.
Mais pourquoi s’inquiéter ? On a le Comité !
Heureusement, Bercy a pris les choses en main. Roulement de tambour. Ils ont créé… un comité. Voilà. C’est tout. Un comité. Pour réfléchir. Traduction : un PowerPoint, trois réunions, zéro économie, et une belle conférence de presse.
Le mot de la fin : Plus Belle la Dette
Tant qu’on a la BCE pour anesthésier les marchés, on tient. Mais si Francfort tousse, on éternue du sang. Et sans l’euro, le Frankistan serait déjà en PLS sur le trottoir du FMI. Triste ironie pour un pays qui se rêve phare du monde et qui devient lanterne rouge de la rigueur budgétaire.
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Attention, ici, l’actualité est revisitée avec une touche d’ironie et de second degré. Ce contenu est purement humoristique et n’a pas vocation à refléter une vérité absolue. Prenez-le pour ce qu’il est : une invitation à rire et à réfléchir, rien de plus ! 😏
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