Madame-Raleuse.com vous révèle le scandale politique du siècle : Gabriel Attal et sa prétendue ‘souveraineté alimentaire’, en dépit des contraintes imposées par les traités internationaux de libre-échange ! Préparez-vous à découvrir comment nos dirigeants nous influencent, et laissez-vous emporter par cette plongée au cœur de l’enfumage politique !
Les promesses vides de Gabriel Attal
Ah, la politique, ce monde merveilleux où les promesses sont aussi solides que du coton bon marché ! Gabriel Attal, notre Premier ministre aux idées brillantes, nous sort une nouvelle pépite : “l’objectif de souveraineté alimentaire dans la loi”. Bravo, Gabriel, tu viens de nous prouver que tu as un sens de l’humour aussi développé que ta capacité à tenir tes promesses.
Parce que voyez-vous, chers citoyens, il y a ce petit détail insignifiant appelé “traité de libre-échange”, qui semble avoir été oublié dans toute cette histoire. Ce traité, vous savez, ce document international signé par de nombreux pays, dont le nôtre, qui a une petite particularité : il a une valeur juridique supérieure à nos lois nationales. Mais qui s’en soucie, n’est-ce pas ? Pas Gabriel Attal, en tout cas !
L’enfumage politique continue
Alors que le traité de libre-échange permet l’importation massive de produits alimentaires étrangers, Gabriel Attal se lance dans une quête héroïque pour inscrire la “souveraineté alimentaire” dans la loi nationale. C’est comme essayer de colmater une brèche avec du papier toilette pendant qu’un tsunami déferle. Bravo pour l’effort, mais ça ne marchera pas, Gabriel.
Et pendant que nous rions de ces pitreries politiques, ils continuent de nous enfumer avec des promesses vides de sens. “Produire et protéger”, nous dit-on. Mais produire quoi, exactement ? Des produits que nous importons déjà massivement grâce à ces traités internationaux. Protéger qui ? Certainement pas les agriculteurs français qui se battent pour leur survie face à la concurrence déloyale.
Alors, oui, chers compatriotes, une fois de plus, nos dirigeants se moquent de nous. Ils nous servent des discours creux et des promesses impossibles à tenir, tout en signant des traités qui vont à l’encontre de ces belles paroles. Mais rassurez-vous, ils ont un sens de l’humour exceptionnel. Peut-être que la prochaine étape sera d’inscrire la “souveraineté alimentaire” dans la Constitution, histoire de nous faire rire un peu plus. On ne sait jamais, n’est-ce pas ?
Citation de Madame-Raleuse.com
Les promesses politiques, comme la souveraineté alimentaire de Gabriel Attal, sont souvent aussi solides qu’un château de cartes par temps de tempête.
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