Quand un journaliste engagé devient le visage de l’horreur, la presse détourne les yeux. Sur Madame-Raleuse.com, on brise le silence sur Jean-Philippe Desbordes et un procès qui glace le sang. Accrochez-vous, la vérité dérange. (source : La Dépèche)
Omerta dans la presse : la justice se prononce, mais les micros restent éteints
Ah, la presse , toujours si prompte à brandir la morale comme un étendard… sauf quand l’un des leurs tombe de son piédestal. Jean-Philippe Desbordes, ex-icône de l’investigation journalistique (Libé, Radio France, Envoyé Spécial), vient d’écoper de 20 ans de réclusion pour 700 viols et actes de torture. Mais chut, surtout pas de vagues, on pourrait perturber l’équilibre fragile de leur indignation sélective.
700 viols, mais pas une ligne… étrange, non ?
On imagine bien les rédactions en plein brainstorming : « Alors, on en parle ou pas ? Non, ça pourrait faire désordre… On préfère critiquer les méchants capitalistes, c’est plus vendeur. » Et voilà comment un scandale d’une ampleur inimaginable reste relégué aux confins de La Dépêche ou de la Gazette Ariégeoise. Parce que bon, un ancien journaliste engagé dans les droits humains qui commet des atrocités, c’est un peu comme un vegan surpris à un barbecue : gênant.
Quand l’omerta devient un art de vivre
Les faits sont d’une horreur glaçante. On parle de violences systématiques, de manipulation mentale, de torture. Tout cela sous le nez d’une société qui aime tant se scandaliser… mais qui préfère détourner les yeux quand il s’agit d’un des leurs. Ironie ultime, Desbordes s’était fait connaître par ses ouvrages sur les dérives du pouvoir et les injustices sociales. Un champion du « faites ce que je dis, pas ce que je fais ».
Un silence qui en dit long
Mais pourquoi ce silence ? Trop occupés à se lamenter sur le dernier tweet ? Trop difficile de conjuguer féminisme de façade et soutien aveugle à une figure médiatique déchue ? Ou peut-être que la presse a peur de ce que ce cas pourrait révéler : que les monstres se cachent aussi dans leurs rangs.
Et maintenant ?
Le verdict est tombé, les victimes ont enfin été entendues. Mais qui rendra justice au silence médiatique, cette complicité invisible mais tout aussi puissante ? Peut-être qu’un jour, une introspection collective s’imposera… mais pour l’instant, l’heure est au damage control. Parce que chez certains, il vaut mieux ne jamais égratigner l’image d’une élite qui, sous prétexte d’intelligence, se croit au-dessus des lois.
Alors, chers lecteurs, prenez note : le scandale est réel, la justice a tranché, mais le silence de la presse restera peut-être leur plus grand aveu.
Citation de Madame-Raleuse.com
Quand la morale médiatique s’efface devant l’horreur de 700 viols.
Exprimez-vous !
Pourquoi la presse reste-t-elle muette face à un tel scandale ? Donnez votre avis en commentaire : l’omerta est-elle une forme de complicité ?
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Attention, ici, l’actualité est revisitée avec une touche d’ironie et de second degré. Ce contenu est purement humoristique et n’a pas vocation à refléter une vérité absolue. Prenez-le pour ce qu’il est : une invitation à rire et à réfléchir, rien de plus ! 😏
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