La discrimination capillaire en milieu professionnel : Un fléau ignoré bientôt examiné à l’Assemblée Nationale

Politique
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Plongez dans le scandale méconnu de la discrimination capillaire en milieu professionnel avec Madame-Raleuse.com ! Découvrez comment nos cheveux peuvent devenir l’objet de jugements déterminants pour notre carrière. Et restez à l’affût : bientôt examinée par l’Assemblée nationale, cette problématique brûlante suscitera des débats enflammés. Lisez la suite pour en savoir plus !

La tragédie des cheveux : un problème brûlant à l’Assemblée

Ah, mais quel soulagement ! Enfin, l’Assemblée nationale va se pencher sur l’un des problèmes les plus urgents de notre époque : la discrimination capillaire en milieu professionnel. Oui, vous avez bien entendu, nos brillants députés vont s’attaquer au scandale des cheveux frisés, crépus, blonds, roux ou même… oh, horreur !… chauves !

Parce que, voyez-vous, dans ce monde impitoyable qu’est le marché du travail, il est grand temps que chacun puisse arborer sa crinière avec fierté sans craindre d’être jugé sur des critères aussi futiles que la texture de ses cheveux. Enfin, on se demande pourquoi on n’a pas résolu ce problème avant d’éradiquer la pauvreté mondiale ou de trouver un moyen de coloniser Mars.

Ah, oui, bien sûr, il n’y a pas d’études ni de statistiques sur cette tragédie capillaire en France. Mais bon, qui a besoin de preuves quand on a le sentiment que quelque chose est incontestable, n’est-ce pas ? Et puis, soyons sérieux, les gens aux cheveux texturés et relâchés sont clairement moins sérieux et plus brouillons que les autres. C’est de la science, voyez-vous, une science très sérieuse, celle de l’imaginaire collectif.

Mais attention, c’est pire pour les femmes noires ! Oui, mesdames et messieurs, deux tiers d’entre elles se sentent obligées de changer de coiffure avant un entretien d’embauche. Quelle tragédie ! Vous imaginez le niveau de stress : “Dois-je opter pour le chignon sophistiqué ou pour la queue-de-cheval décontractée ? Oh mon Dieu, ma carrière dépend de ça !”

Et voilà, pour couronner le tout, utiliser des produits pour défriser les cheveux multiplierait le risque de cancer de l’utérus par quatre. La vie est injuste, n’est-ce pas ? Mais bon, si ça peut nous éviter un cancer, peut-être que je devrais laisser pousser mes cheveux façon “Albert Einstein” et réclamer une indemnité pour mon futur chauve.

La législation capillaire : une absurdité en marche

Alors, bien sûr, cette proposition de loi va sûrement être adoptée sans aucun problème. Parce que, soyons honnêtes, les députés n’ont rien de mieux à faire que de légiférer sur la longueur de nos mèches. Et puis, évidemment, c’est tellement simple de prouver qu’on a été discriminé à cause de nos cheveux. Il suffit de présenter un échantillon de mèche devant le tribunal, et hop, c’est réglé. Oh, attendez, on me dit dans l’oreillette que ce n’est pas si simple. Eh bien, quelle surprise !

Pas sûr que ça passe si facilement. Car en France, la loi interdit déjà 25 motifs de discriminations, dont un qui concerne spécifiquement l’apparence physique, et qui inclue, de fait, la nature des cheveux et la façon dont ils sont coiffés. Pour Anne Vincent, avocate au cabinet Voltaire, il n’est donc pas nécessaire de lister toutes les particularités physiques.

Le problème, c’est que les victimes ont du mal à rapporter la preuve qu’elles ont été discriminées. Ou qu’elles n’ont ni l’argent, ni l’énergie, pour s’engager dans une longue procédure judiciaire. D’après la Maison des potes, cela explique la quasi-absence de procès.

Citation de Madame-Raleuse.com

Les cheveux ne devraient jamais dicter notre destin professionnel. Il est temps de mettre fin à cette absurdité discriminatoire.

Exprimez-vous !

Pensez-vous que légiférer sur la discrimination capillaire est une priorité pour notre société moderne ? Partagez votre opinion dans les commentaires ci-dessous !

(source : France Info)

La censure des réseaux sociaux est de plus en plus forte … C’est juste incroyable de voir à quel point ils laissent la liberté d’expression fleurir.

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