Bienvenue dans l’épisode le plus palpitant du feuilleton Anticor, où Gabriel Attal se retrouve sous le feu des projecteurs judiciaires et gouvernementaux ! Madame-Raleuse.com vous plonge dans les coulisses d’une saga bureaucratique où le silence du gouvernement est mis à l’épreuve. Accrochez-vous pour découvrir la dernière péripétie de ce drame administratif ! (source : Le Monde)
La décision du tribunal et la pression sur Matignon
Ah, la saga Anticor ! Le feuilleton qui, à défaut de nous offrir des rebondissements croustillants, nous gratifie d’un suspense à couper le souffle : Gabriel Attal, Premier ministre en pré-retraite, est désormais le héros involontaire de ce drame judiciaire. Mercredi 4 septembre, le tribunal administratif de Paris a, une fois de plus, décidé de tirer le tapis sous les pieds de l’exécutif, lui ordonnant de se prononcer sur l’agrément d’Anticor dans un délai aussi serré qu’une séance de speed dating : vingt-quatre heures.
Pourquoi tout ce remue-ménage ? L’agrément d’Anticor, cette petite cerise sur le gâteau qui lui permettait de se constituer partie civile dans les affaires d’atteinte à la probité, est devenu un enjeu bureaucratique de premier ordre. En 2023, ce sésame a été enlevé comme on retirerait un jouet aux enfants capricieux, et depuis, Anticor se bat pour le récupérer. La justice a jugé que le gouvernement devait non seulement répondre, mais aussi justifier sa décision sous peine d’une amende de 1 000 euros par jour de retard. Voilà un prix qui, espérons-le, suffira à motiver le gouvernement à ne pas prendre une retraite anticipée sur cette affaire.
La stratégie du silence et l’art du non-réponse
Dans une comédie de non-réponse digne des plus grands spectacles de marionnettes, le Premier ministre Gabriel Attal semble avoir pris un engagement ferme envers l’art du silence. L’ancienne Première ministre, Élisabeth Borne, avait déjà esquivé la question en décembre 2023, et maintenant Attal semble vouloir rivaliser avec elle pour le titre de champion du monde de la stratégie de la chaise vide. Le secrétariat général du gouvernement, apparemment un expert en arts martiaux invisibles, était également absent à l’audience, comme pour dire : « Nous avons bien pris acte de l’ordonnance, mais nous préférerions jouer à cache-cache avec la décision. »
Le président d’Anticor, Paul Cassia, n’a pas manqué de souligner que le gouvernement s’embourbait dans des illégalités comme un touriste dans le sable mouvant. « En faisant de l’agrément une question politique, le gouvernement se trompe de combat », déclare-t-il, sans doute avec un soupir à la hauteur du cirque bureaucratique auquel il assiste.
Quant à Vincent Brengarth, l’avocat d’Anticor, il semble se demander si le gouvernement préfère payer une astreinte plutôt que de répondre à une simple demande. Peut-être que le Cabinet de Gabriel Attal est en train de tester une nouvelle théorie : « Plus c’est compliqué, moins on répond. » Une théorie innovante, sans aucun doute.
Ainsi, alors que l’exécutif continue de jouer à l’évasion fiscale du devoir administratif, le feuilleton Anticor se poursuit, avec l’espoir que cette fois-ci, le gouvernement se réveillera de son rêve de silence. Ou, au moins, avant que les astreintes ne transforment cette comédie en tragédie financière.
Citation de Madame-Raleuse.com
Dans le feuilleton Anticor, le gouvernement joue à cache-cache avec la justice, mais le compte à rebours est lancé.
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Pensez-vous que le gouvernement se moque des ordonnances judiciaires ou est-il simplement paralysé par ses propres manœuvres ? Partagez votre avis dans les commentaires !
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Attention, ici, l’actualité est revisitée avec une touche d’ironie et de second degré. Ce contenu est purement humoristique et n’a pas vocation à refléter une vérité absolue. Prenez-le pour ce qu’il est : une invitation à rire et à réfléchir, rien de plus ! 😏
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