banane généré par craiyon

Madame-Raleuse.com nous plonge dans le scandale du chlordécone qui secoue les Antilles, et croyez-moi, c’est une histoire aussi absurde que choquante. Accrochez-vous, car nous allons explorer cette tragédie empoisonnée avec un soupçon de sarcasme et une pincée de réalisme. Madame-Râleuse vous guide dans cette plongée dans un monde où la justice, la santé et l’environnement sont en jeu. (source : Huffpost)

La tragédie du chlordécone

Ah, l’Affaire du chlordécone, quelle histoire fascinante et hilarante ! On dirait que les Antillais sont en train de passer du temps de leur vie à protester contre ce non-lieu dans cette affaire. Je veux dire, qui a besoin de justice et de responsabilité quand on peut avoir du chlordécone dans son assiette ?

Le chlordécone, c’est génial, non ? Un pesticide utilisé pour protéger les bananes, mais qui s’est éparpillé partout, merci le glyphosate ! Et bien sûr, il ne s’est pas contenté de rester dans les champs de bananes. Il a décidé de faire un tour dans les légumes, les poissons, les crustacés, les bovins, les poules, et enfin, les êtres humains. C’est comme un cadeau empoisonné qui ne s’arrête jamais de donner. Plus de 90 % des Antillais sont contaminés, mais qui s’en soucie ?

Les zones interdites à la culture et à la pêche, c’est juste une formalité. Après tout, le chlordécone peut survivre dans le sol pendant 500 ans. Ça va, c’est pas comme si la Guadeloupe et la Martinique avaient autre chose à faire que de s’occuper de leurs sols empoisonnés pendant des siècles.

Et puis, le côté santé, c’est un bonus. Le chlordécone est un perturbateur endocrinien, mais c’est pas grave, on peut quand même l’utiliser. L’OMS a dit en 1979 que c’était potentiellement cancérigène, mais bon, on ne va pas s’embarrasser avec ça. Et puis, le ministère de l’Agriculture a réautorisé son utilisation en 1981, parce que pourquoi pas ?

L’indignation et l’espoir

Maintenant, la Guadeloupe et la Martinique sont en tête du classement mondial pour les cancers de la prostate. C’est comme gagner une médaille d’or, sauf que c’est une médaille empoisonnée. Mais qui peut dire que le chlordécone y est pour quelque chose ? Ah, c’est probablement une coïncidence.

Les associations qui ont porté plainte ont eu la mauvaise idée de s’attendre à ce que la justice fasse quelque chose. Mais non, la justice a décidé qu’il n’y avait pas suffisamment de preuves, parce que bon, qui a besoin de preuves quand il s’agit de la santé des gens ?

Et puis, ce n’est pas comme si les États-Unis avaient déjà interdit le chlordécone en 1977, suite à un scandale sanitaire. Mais bon, ça n’a rien à voir avec la situation aux Antilles, n’est-ce pas ? C’est juste un nom différent, “Kepone”. Rien de comparable, vraiment.

Heureusement, les avocats des victimes sont prêts à faire appel. Ils iront même jusqu’à la Cour de cassation et à la Cour européenne de justice pour que justice leur soit rendue. Après tout, c’est seulement une question de santé, d’environnement, et de responsabilité. Rien de bien sérieux, n’est-ce pas ?

Citation de Madame-Raleuse.com

Qui a besoin de justice quand on peut avoir une dose gratuite de chlordécone à chaque repas ? Après tout, le cancer est la nouvelle tendance gastronomique des Antilles.

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