Ah, soupir Madame-Raleuse.com, Ce fameux syndrome de Stockholm, mis en évidence il y a 50 ans jours pour jour , qui trouve une version étonnamment moderne avec la COVID-19, où les gens semblent développer cette tendance super cool à tomber amoureux de leurs mesures sanitaires.
Il n’y a rien de tel que la crise de la COVID-19 pour nous rappeler à tous que le syndrome de Stockholm n’est pas réservé aux séquestres physiques. Non, non, il peut aussi s’appliquer à la population générale. Vous savez, quand on est submergé par des informations répétitives sur le lavage des mains, les masques faciaux et les vaccins, on ne peut s’empêcher de développer une affection particulière pour ces règles, comme si elles étaient nos nouveaux meilleurs amis.
L’Art de la conformité obligatoire, ou comment adopter le charme des contraintes
C’est tellement compréhensible. Je veux dire, qui n’aime pas se plier à des exigences strictes et obligatoires, comme porter un masque ou présenter un pass pour entrer dans des endroits ? C’est comme si on demandait poliment à notre cerveau de faire une petite valse avec le syndrome de Stockholm. “Hé, cerveau, pourquoi ne pas sympathiser avec ces règles et te sentir connecté émotionnellement à elles ?”
Et puis, il y a cette sensation enivrante d’être contraints de suivre ces règles. Rien de tel qu’une bonne dose de contrainte pour renforcer le lien émotionnel. Après tout, qui n’aime pas être obligé de faire quelque chose sous peine de sanctions ?
Alors, oui, c’est vrai que les parallèles entre le syndrome de Stockholm et nos réactions face aux mesures de la COVID-19 sont étonnamment frappants. Mais souvenez-vous, c’est le genre de chose à prendre avec une pincée de sarcasme et un soupçon d’humour. Parce que bien sûr, en réalité, les choses sont bien plus complexes que de simplement tomber amoureux d’une règle de port de masque. Enfin, je veux dire, qui pourrait résister au charme de ces masques si élégants de toute façon ?
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Vous sentez-vous pris en otage depuis 2020 par la crise sanitaire et les décisions politiques, malgré les parallèles humoristiques avec le syndrome de Stockholm évoqués dans le texte, tout en tenant compte du débat sur l’efficacité des masques contre la COVID-19 ? Donnez-moi votre avis en commentaire !
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