Attention, ici, l’actualité est revisitée avec une touche d’ironie et de second degré. Ce contenu est purement humoristique et n’a pas vocation à refléter une vérité absolue. Prenez-le pour ce qu’il est : une invitation à rire et à réfléchir, rien de plus ! 😏

Sébastien Lecornu et son faux master de droit public : quand la Macronie maquille les diplômes comme des comptes publics

Ah, le CV politique : ce petit bout de papier magique où l’on se transforme en super-héros académique. Chez les autres, ça s’appelle de l’embellissement. Chez nos ministres, c’est carrément du Photoshop institutionnel.

Le master fantôme d’Assas

Pendant des années, le site officiel affirmait que Sébastien Lecornu, nouveau Premier ministre, était titulaire d’un master de droit public à Panthéon-Assas.
En réalité ? Nada.
Il a bien tenté l’aventure, mais il a quitté le navire avant la fin. Résultat : pas de diplôme, juste une licence.

Bref, Assas l’a vu passer, pas valider. Mais ça n’a pas empêché ses communicants de transformer son abandon en réussite éclatante.

Quand Assas devient une carte de fidélité

On imagine bien la scène :
– « Alors Monsieur Lecornu, vous avez terminé vos études ? »
– « Euh… non, mais j’ai commencé, ça compte non ? »
– « Comme un régime qu’on arrête au bout de trois jours ? »

Si chaque étudiant qui a planté son master pouvait se déclarer diplômé, la France serait déjà le pays le plus éduqué du monde.
Et Parcoursup deviendrait une simple tombola.

La Macronie et son art de la gonflette

Soyons clairs : tout le monde s’en fiche qu’il n’ait « que » sa licence.
Mais quand tu passes ton temps à expliquer aux Français que leur CV « ne correspond pas aux attentes du marché du travail », tout en gonflant le tien comme une baudruche… ça sent la tricherie à grande échelle.

C’est comme demander aux gens de se serrer la ceinture et d’économiser sur les pâtes… pendant que tu remplis ton assiette de caviar en expliquant que « tout est une question de mérite ».

Et là, Lecornu ne fait que marcher sur les traces du grand chef d’orchestre : Macron lui-même, qui a longtemps entretenu des zones floues autour de son parcours universitaire. Dans cette République-là, le mensonge n’est plus un accident, c’est un outil de communication.

Un système, pas une erreur

L’affaire Lecornu, ce n’est pas juste un petit CV enjolivé.
C’est le reflet d’une Macronie qui exige des citoyens des parcours parfaits, des sacrifices, des justificatifs en triple exemplaire… pendant qu’elle se permet toutes les approximations.

Un diplôme non validé devient une réussite.
Un déficit abyssal devient une « trajectoire soutenable ».
Un abandon d’étude devient une preuve de « détermination ».

En somme : le double discours érigé en modèle de gouvernance.

Moralité

Chez Lecornu comme chez Macron, (source : Le Point) les diplômes et les promesses ont la même valeur : gonflés, retouchés, toujours plus beaux sur papier que dans la réalité.
Et quand on découvre le pot aux roses, ils appellent ça un « malentendu ».

À ce rythme-là, on se demande ce que contient vraiment le CV collectif de la Macronie :
– Bac+5 en storytelling,
– Master en enfumage,
– Doctorat honoris causa en foutage de gueule.

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