Attention, ici, l’actualité est revisitée avec une touche d’ironie et de second degré. Ce contenu est purement humoristique et n’a pas vocation à refléter une vérité absolue. Prenez-le pour ce qu’il est : une invitation à rire et à réfléchir, rien de plus ! 😏

Ursula annonce la crise sanitaire

« Nous sommes au bord d’une nouvelle crise sanitaire mondiale ». Merci Ursula, on avait presque oublié l’ambiance 2020 : les courbes qui explosent, les journaux de 20h transformés en bulletins de guerre, et les files devant les pharmacies comme autrefois devant les boulangeries soviétiques.

Voilà qu’on nous ressert le scénario. Cette fois, c’est de la rougeole à la polio en guest stars, avec la « désinformation » en grand méchant loup. Bref, le décor est planté : la peur comme carburant, la résilience comme slogan.

L’Europe a trouvé son nouveau joujou

Mais attention, Ursula ne fait pas que trembler. Elle annonce aussi une “initiative mondiale de résilience en santé”. Traduction : un gros chantier numérique et centralisé.

Derrière le jargon, on retrouve EUVABECO : la future boîte à outils magique avec carte vaccinale européenne, bases de données interconnectées, notices digitales et algorithmes de décision. Tout ça sera prêt… mi-2026. Autrement dit, demain matin, quand la crise annoncé aura déjà bien pris ses quartiers.

Où veut-on en venir ?

Soyons clairs : Ursula ne nous prévient pas seulement d’une épidémie. Elle prépare le terrain pour un monde où la santé se gère à Bruxelles comme on gère la PAC : centralisée, numérisée, uniformisée. Après le Pass sanitaire, voici la version 2.0 — un Pass vaccinal européen, présenté comme “l’outil de résilience”.
Et si vous trouvez ça intrusif, on vous rappellera gentiment que c’est « pour votre bien ».

La petite vérité qui gratte

La crise, on l’a déjà subie. Ce qu’on redoute aujourd’hui, ce n’est pas un virus exotique, mais cette mécanique bien huilée où chaque alerte sanitaire sert surtout à renforcer les leviers de contrôle.
Alors oui, Ursula von der Leyen annonce une crise sanitaire. Mais le vrai virus, c’est peut-être cette tentation permanente d’ériger des outils d’exception en normalité européenne.

En somme : après le Covid, on ne nous promet pas la santé. On nous promet la gouvernance sanitaire.

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