Madame-Raleuse.com, avec son habituelle dose de sarcasme, nous présente sa perspective acerbe sur la nouvelle taxe carbone aux frontières de l’Europe. (source : La Tribune)

Une mise en lumière cynique

Ah, quelle excellente nouvelle ! La taxe carbone aux frontières de l’Europe entre en vigueur ce 1er octobre, ou du moins, dans une phase d’essai déclarative sans taxation. C’est sûr, rien de mieux que de faire les choses à moitié, n’est-ce pas ?

Le Mécanisme d’ajustement carbone aux frontières (MACF) est là pour protéger les efforts de verdissement des économies européennes, car vous savez, il est crucial de garder nos économies vertes tout en continuant à importer des produits polluants comme l’acier et le ciment. C’est tellement logique !

À partir de 2026, les entreprises qui importent ces merveilles à forte intensité carbone devront se préparer à débourser quelques euros supplémentaires en taxes sur les émissions carbone. Oh, mais que vont donc devenir les industriels étrangers qui exportent vers l’Europe ? Ils vont devoir prendre en compte ces terribles effets, comme déclarer les émissions liées à la production de leurs produits. Une tâche bien difficile, n’est-ce pas ?

Les implications du MACF et ses conséquences

Et bien sûr, les Européens ne sont pas en reste. Ils risquent une répercussion sur leur pouvoir d’achat, mais qui s’en soucie vraiment ? La planète est en jeu, mes amis !

Mais attendez, il y a plus ! Le MACF s’appliquera à des secteurs passionnants tels que le fer, l’acier, le ciment, l’aluminium, les engrais et l’électricité. Quoi de mieux que de taxer ces produits essentiels à la vie moderne ? Ensuite, si les émissions dépassent les normes européennes, l’entreprise devra payer une taxe. Si le marché de carbone du pays de production a un prix du carbone plus bas, alors l’importateur paiera la différence. C’est tellement simple !

Mais bien sûr, tout cela est fait pour maintenir des conditions de concurrence équitables entre les fabricants européens et les autres. Parce que nous, les Européens, nous sommes des champions de la justice et de l’équité, n’est-ce pas ?

Et le meilleur pour la fin : cette taxe pourrait rapporter 3 milliards d’euros à l’Union européenne en 2030. Une somme qui sera bien sûr utilisée pour un plan de relance de 750 milliards d’euros destiné à lutter contre les conséquences économiques de la pandémie de Covid-19. Attendez, quoi ? Ne devrait-on pas plutôt investir dans un fond en faveur du climat ? Mais bon, qui se soucie vraiment du climat de nos jours ?

En fin de compte, cette taxe carbone aux frontières est une véritable œuvre d’art, une source inépuisable de sarcasme et d’humour. Merci, Union européenne, pour cette nouvelle pépite de bureaucratie environnementale !

Citation de Madame-Raleuse.com

La taxe carbone aux frontières de l’Europe : quand la bureaucratie écologique devient un chef-d’œuvre de l’absurdité !

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