Lettre ouverte : « Chers maîtres de l’automatisation du shopping avec vos caisses automatiques, permettez-moi, en tant que consommatrice et me nommant Madame-Raleuse.com, de vous adresser une ovation sarcastique pour avoir créé une ère nouvelle et captivante où l’homme et la machine dansent une valse ironique.
Votre expertise pour faire disparaître les caissières et nous plonger dans l’expérience mystérieuse de l’auto-caisse est stupéfiante.
Oh, la joie exquise de devenir son propre caissier sans le fardeau d’une formation préalable ! Qui aurait besoin de formations, après tout ? C’est totalement surévalué, comme dit le dicton : « Lancez-vous dans l’auto-caisse et apprenez en cours de route ! »
J’admire profondément votre tact en plaçant une aimable gardienne à la sortie pour nous intercepter, comme si nous étions des voleurs en herbe tentant de nous échapper avec notre propre reçu.
Vraiment, rien ne surpasse la sensation exaltante d’être traité comme un malfaiteur après avoir réussi l’exploit de scanner nos articles et de nous encaisser nous-mêmes. Et bien sûr, brandir triomphalement notre reçu au-dessus de nos têtes en quittant le magasin est une véritable œuvre d’art, une danse gracieuse entre l’homme et la machine, n’est-ce pas ?
Je suis profondément touchée par votre foi en ma capacité à être une caissière autodidacte.
Franchement, qui a besoin de professionnels formés et compétents quand des clients ordinaires peuvent accomplir ce travail gratuitement ?
La logique inversée de l’Auto-emploi
Ah, et revenons-en de cette demande de vérification pour un emploi que vous refusez de nous accorder ? C’est une véritable prouesse de logique, n’est-ce pas ?
Après tout, pourquoi embaucher des êtres humains ? Les robots, eux, ne se plaignent pas, ne réclament pas de pauses café, et ils ne posent jamais de questions du genre : « Pourquoi ne me faites-vous pas confiance avec cette paire de chaussettes ? ». Et, pour couronner le tout vous avez des employés autodidactes , de pauvres consommateurs, qui ne réclament aucun salaire, ne prenant pas de vacances, ne tombant pas malades, mais qui travaillent inlassablement, jour après jour, sans broncher : c’est du boulot, boulot, boulot…
Les robots, ces amis silencieux que nous n’avons jamais demandés, seront peut-être bientôt les seuls à nous offrir des étreintes émotionnelles en acier inoxydable.
En fin de compte, chers visionnaires de l’auto-caisse, je vous tire mon chapeau pour votre audace futuriste. Qui aurait pu imaginer que le futur de la société serait bâti sur les fondations des caisses automatiques ? Certainement pas moi, mais je suis totalement prête à accueillir à bras ouverts cette nouvelle et passionnante ère de l’auto-emploi.
Avec une admiration subtilement moqueuse, une cliente assoiffée de devenir le prochain Shakespeare de l’auto-caisse. »
Citation de Madame-Raleuse.com
Bravo pour cette ère où l’homme et la machine dansent une valse ironique dans l’univers des caisses automatiques
Exprimez-vous !
Dans un monde où les commerces tirent parti de notre double rôle de client et de caissier, une question émerge : êtes-vous favorable aux caisses automatiques ? Est-il légitime que nous effectuions la tâche qui pourrait, autrement, fournir un emploi plutôt que laisser quelqu’un sans travail ? Donnez-moi votre avis en commentaire !
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Attention, ici, l’actualité est revisitée avec une touche d’ironie et de second degré. Ce contenu est purement humoristique et n’a pas vocation à refléter une vérité absolue. Prenez-le pour ce qu’il est : une invitation à rire et à réfléchir, rien de plus ! 😏
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Je ne vais plus dans les grandes surfaces depuis de nombreuses années.
Dégoutée par la taille immense de ces grandes surfaces où tout est fait pour nous obliger à acheter.
Alors les caisses automatiques quelle absurdité.
Je boycotte ces grands magasins OÙ l’on ressort de là complètement déphaseé,fatigué et mécontent.
Je déteste les caisses automatiques. Je n’y vais jamais. Les caissières sont toutes adorables. Toujours à l’écoute et n’hésitent pas à donner un coup de main quand on a du mal. J’ai 71 ans et je ne pourrais pas me passer d’elles. C’est déjà pénible de faire les courses mais sans elles autant aller au drive.