Macron a parlé, mais ne vous y trompez pas : derrière ses mots creux, tout était déjà écrit. Pas de démission, pas de dissolution, mais un blocage savamment orchestré qui pourrait bien mener à une prise de pouvoir totale. Madame-Raleuse.com vous dévoile comment notre président joue au stratège avec la République en toile de fond. Lisez vite, le théâtre politique vire à la tragédie !
Mes chères râleuses, chers râleurs,
Emmanuel Macron, le maestro du flou artistique, a encore frappé. lors de son allocution, Il a parlé pour ne rien dire,… tout en laissant croire qu’il disait tout. Une performance digne d’un Molière au sommet de l’ambiguïté politique..
1. Le Roi ne démissionne pas
Ah, quelle surprise… ou pas. Notre Mozart de la finance, virtuose des 3 280 milliards de dettes et amateur de lyres dorées, ne compte pas rendre son tabouret. La psychologie de ce bonhomme est aussi transparente qu’un rapport de la Cour des comptes : Il préfère jouer au chef d’orchestre sur une scène en flammes que de reconnaître ses fausses notes !
2. Une crise ? Parfait, faisons pire !
Si le blocage institutionnel est total et que les députés se comportent comme des garnements turbulents, que fera notre cher président ? Dissoudre ? Impossible avant l’été prochain. Alors, démissionner ? Soyons sérieux. Avec l’ego intersidéral qui le caractérise, Macron ne lâchera pas son fauteuil doré si facilement. Le capitaine ne quitte jamais son navire, même quand il est en train de couler. Ce serait reconnaître un échec, et ça, c’est un mot qui ne figure pas dans son dictionnaire personnel.
3. La rhétorique de l’antagonisme
En traitant les LFI et les RN d’anti-républicains devant 67 millions de spectateurs médusés, Macron n’a pas jeté un pavé dans la mare, il a carrément largué une péniche. Pourquoi apaiser quand on peut attiser ? Son objectif est limpide : créer un chaos où il devient le seul recours raisonnable. Un génie de la narration tragique, ce Macron.
4. La France en marche… vers l’impasse
En refusant toute collaboration et en accusant les autres de l’ingouvernabilité, Macron a tracé un chemin tout droit vers le mur. Et quand il aura bien verrouillé tout le chaos, il pourra se proclamer sauveur de la République avec un grand sourire triomphant, quoi de mieux que de clamer : « Je prends les pleins pouvoirs pour sauver la République ! » ? Machiavélique, non ?
Vers une solution extrême : l’article 16… ou comment jouer au nouveau De Gaulle
Ah, l’article 16, ce joyau de la Cinquième République qu’on sort en cas de crise ultime. Utilisé une seule fois par De Gaulle en 1961, il symbolise le recours au sauveur suprême, le chef qui concentre tous les pouvoirs pour redresser la nation. Et devinez quoi ? Macron semble avoir très envie de dépoussiérer cette relique.
Soyons sérieux : Macron rêve certainement d’être le nouveau De Gaulle. Pourquoi se contenter d’être le Mozart de la finance quand on peut devenir le général de l’impasse ? Une crise par ici, un article 16 par là, et hop, il réécrit son manuel d’Histoire. Avec un peu de chance, il nous sortira bientôt une réplique du style : « Je vous ai compris ! » (mais en fait, il s’adresse surtout à son reflet dans le miroir).
Sauf qu’il y a un petit problème. Peut-on vraiment se permettre un “De Gaulle 2.0” ? Après tout, ce n’est pas exactement le même contexte. En 1961, la France faisait face à la guerre d’Algérie et à une menace existentielle pour ses institutions. Aujourd’hui, la menace, c’est surtout un président qui refuse de lâcher prise, des députés qui s’étripent, et une société qui n’en peut plus d’être prise en otage par des ego surdimensionnés.
Alors, que Macron active l’article 16 pour sauver son image, pourquoi pas… mais il faudrait qu’on vérifie avant si la France peut se permettre ce petit caprice présidentiel. Parce que si jouer les De Gaulle, c’est fun dans les livres d’histoire, dans la vraie vie, ça peut rapidement virer au désastre. Et ça, mes chers râleurs, ce n’est pas exactement ce qu’on avait en tête pour Noël.
5. La suite ? Préparez les pop-corn
Quand l’article 16 sera activé et que les pleins pouvoirs lui reviendront, les choses vont devenir intéressantes. Le climat social, déjà bouillonnant, pourrait bien transformer l’Élysée en barbecue social. Mais rassurez-vous, mes chers râleurs, tout cela est orchestré dans l’intérêt de la France. Enfin, dans l’intérêt d’un seul homme et de son ego XXL.
Conclusion ?
Macron nous aura prouvé une chose : parler pour ne rien dire peut tout révéler. Alors, préparez-vous pour la prochaine saison du Macron Show. Vous allez voir, c’est de la politique à grand spectacle… avec nous en figurants.
Citation de Madame-Raleuse.com
Les Français ne le méritent pas… et si on en profitait pour s’en débarrasser ?
Exprimez-vous !
Macron, sauveur ou manipulateur ? 👉 Dites-nous en commentaire : pensez-vous que l’article 16 est un coup de maître ou un coup d’État déguisé ?
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Attention, ici, l’actualité est revisitée avec une touche d’ironie et de second degré. Ce contenu est purement humoristique et n’a pas vocation à refléter une vérité absolue. Prenez-le pour ce qu’il est : une invitation à rire et à réfléchir, rien de plus ! 😏
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Bonjour ,
Mais qu’avez-vous à toujours
guetter ce que Pinocchio-fils
va dire ou faire ?
Que de temps et d’énergie perdus !
Et c’est à cause de tous ceux
qui font comme vous et l’écoute ,
qu’il peut se croire important !
Sa force vient des pouvoirs
que vous lui accordez !
Offrez-lui votre indifférence
et agissez pour vous ,contre lui ,
là est la seule issue possible !
Je vou souhaite un bon week-end .
Albert Einstein affirmait = « On ne résout pas les problèmes avec ceux qui les ont créés »
Un peuple qui élit des corrompus, des renégats, des imposteurs, des voleurs et des traitres n’est pas victime, Il est complice.
Tout à fait d’accord.Et maintenant que peut on faire ? Pour rire : une connaissance macroniste m’a dit quand ce type a provoqué la dissolution : il a respecté la démocratie Macron !
déclencher l’article 16❓,d’abord peut il le décider seul si oui on n’a pas fini d’en ch…