Quand l’Élysée devient une galerie d’art… glauque et hors de prix !

Ah, l’art contemporain… Ce vaste univers où l’on peut clouer une banane sur un mur et appeler ça du génie ! Mais quand il s’agit de redécorer l’Élysée avec les deniers publics, Emmanuel et Brigitte Macron ne font pas les choses à moitié. Entre tapis au goût douteux, vaisselle hors de prix et fleurs à six chiffres, on pourrait croire à un épisode de « Cauchemar en déco ». Mais attendez, le pire reste à venir.

500 000 € pour de la vaisselle, 600 000 € pour des fleurs… et un tapis bien gênant

Tout commence par quelques petites factures ici et là : une nouvelle vaisselle à 500 000 €, des fleurs pour 600 000 €, et au passage, un petit relooking de l’Élysée pour « dépoussiérer » le tout. Vous comprenez, c’est important d’avoir un cadre moderne et chic pour faire rayonner la France. Sauf que quand CNN vient filmer la nouvelle déco présidentielle, c’est l’incrédulité totale : on se croirait dans un showroom GiFi version élitiste, où le « goût de chiottes » atteint des sommets.

Mais là où l’histoire devient franchement dérangeante, c’est quand on s’intéresse à un élément de décoration bien particulier : le tapis « Soleil Noir ». Un simple tapis ? Pas vraiment.

Un tapis à la symbolique bien lourde

Affiché fièrement dans un des bureaux de l’Élysée depuis 2017, ce tapis n’a pas juste un nom étrange, il a une référence historique bien sombre. « Soleil Noir », c’est un symbole occulte très apprécié par… l’idéologie nazie. Oui, oui, vous avez bien lu. Même la LICRA le reconnaît dans ses documents d’identification des symboles extrémistes. Alors, soit l’équipe de déco de l’Élysée a séché quelques cours d’histoire, soit il y a un problème.

Et ce n’est pas tout. L’artiste à l’origine de ce chef-d’œuvre ? Claude Lévêque, un plasticien français connu pour son style provocateur… mais aussi pour être accusé de viols sur mineurs. Ah, tout de suite, ça change l’ambiance.

Un scandale dont personne ne parle

L’affaire explose en 2021, et malgré des accusations accablantes, l’œuvre de cet individu continue de trôner fièrement à l’Élysée. Pendant ce temps, Macron et son entourage feignent l’ignorance et continuent à se donner des airs de mécènes de l’art contemporain. Pas de vague, pas de polémique, surtout ne pas éveiller l’attention du grand public.

Alors, une question se pose : comment se fait-il que personne ne s’offusque qu’un pédocriminel ait une de ses œuvres dans la plus haute institution du pays ? À l’heure où l’on fait la chasse au moindre dérapage, où le moindre symbole « problématique » est traqué, cette absence de réaction est plus que suspecte.

Quand le budget explose et que le bon sens s’effondre

Au-delà du mauvais goût présidentiel et de cette absence de scrupules, il faut rappeler que le budget de l’Élysée n’a jamais autant explosé alors que la dette publique bat des records. Depuis l’arrivée d’Emmanuel Macron, les dépenses ont littéralement grimpé en flèche, atteignant des records de déficit. Et pour quoi ? Pour nous infliger un décor qui ferait passer une brocante des puces pour un musée du Louvre.

Mais ne vous inquiétez pas, les taxes, elles, sont toujours là pour compenser ces dépenses artistico-politiques. Parce qu’après tout, quoi de mieux que de ponctionner encore un peu plus les Français pour financer les délires décoratifs de notre cher président ?

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Attention, ici, l’actualité est revisitée avec une touche d’ironie et de second degré. Ce contenu est purement humoristique et n’a pas vocation à refléter une vérité absolue. Prenez-le pour ce qu’il est : une invitation à rire et à réfléchir, rien de plus ! 😏

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