Madame-Raleuse.com plonge dans le monde déroutant de la prégabaline, cette « drogue du pauvre ». Laissez-moi, votre humble guide à travers l’absurdité pharmaceutique, vous narrer les méandres de cette tendance. (source : Le Point)
La Prégabaline, la tendance pharmaceutique
Ah, la prégabaline, la « drogue du pauvre », le remède miracle pour tous ceux qui veulent pimenter leur vie sans se ruiner en substances chères et branchées. Les douaniers français ont flairé le bon filon avec la saisie de 8 300 gélules en une semaine. On peut dire que c’est devenu aussi populaire que les selfies, mais avec un risque d’addiction en prime !
Apparemment, la prégabaline fait désormais partie d’un trafic organisé. On se demande si les contrebandiers ont des cartes de fidélité pour leurs « ordonnances falsifiées ». Peut-être qu’ils collectionnent des timbres avec ça aussi, qui sait ? Certains ont même adopté un « nomadisme médical et pharmaceutique », une nouvelle tendance à la mode, paraît-il.
Quand la « Drogue du pauvre » devient un business sérieux
Mais attendez, c’est pas fini. La prégabaline, connue sous le nom de « Lyrica » pour les intimes, est prescrite depuis 2004 en France. À l’origine, c’était pour traiter l’épilepsie, mais comme tout bon médicament, il a su élargir son horizon et s’est fait une petite réputation dans le traitement des troubles anxieux. Et là, on découvre que même les médecins étaient dans le flou sur le potentiel addictif de la chose pendant des années. Bravo, les gars, on peut toujours compter sur vous pour nous surprendre.
Maintenant, il paraît que les gens prennent leur dose de prégabaline pour les effets euphorisants et sédatifs. C’est comme une soirée pyjama, mais sans les pyjamas. Et bien sûr, il n’y a pas de méthode de sevrage en France pour ça. Pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué ?
Ah, 500 détournements en 2022, un vrai carton ! Mais on nous rassure, c’est probablement juste la pointe de l’iceberg. En réponse, l’ANSM a décidé de restreindre la prescription de Lyrica à six mois. Logique, on ne voudrait pas que les gens s’amusent trop.
Et pour couronner le tout, les dealers se lancent dans le business de la prégabaline. Parce que, soyons honnêtes, quoi de mieux que de combiner la vente illégale de cigarettes, de tabac et de gélules magiques à deux euros pièce ? C’est l’effet combo, la totale à petit prix. Les gélules, la drogue du pauvre, à deux euros, quand la résine de cannabis se vend à 8 euros le gramme. C’est sûr, ça vaut le coup. La prégabaline, la nouvelle tendance des soirées chics et sarcastiques.
Citation de Madame-Raleuse.com
La prégabaline, parce que pourquoi se contenter de la richesse quand on peut avoir l’illusion de l’opulence pour deux euros la capsule ? C’est ça, la pharmacie version sarcasme : où la ‘drogue du pauvre’ devient le must-have des soirées à budget limité. Qui a besoin de champagne quand on peut avoir une gélule d’euphorie à petit prix ? Santé, mes amis, santé à la française ! »
Exprimez-vous !
Et vous, quel est votre avis sur l’émergence de la prégabaline en tant que ‘drogue du pauvre’ ? Pensez-vous que les autorités font suffisamment pour contrer ce phénomène pharmaceutique détourné en business lucratif ? Partagez vos réflexions en commentaire !
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Attention, ici, l’actualité est revisitée avec une touche d’ironie et de second degré. Ce contenu est purement humoristique et n’a pas vocation à refléter une vérité absolue. Prenez-le pour ce qu’il est : une invitation à rire et à réfléchir, rien de plus ! 😏
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