Ramadan, Carême et laïcité sélective : à géométrie variable, évidemment ! Quand les mairies porpose des salles pour le repas de rupture de jeûne

Ah, le 28 février, c’est le début du Ramadan. Voilà une info qui ne risque pas de passer inaperçue : reportages, témoignages, programmes télé spéciaux… bref, on n’échappera pas à l’événement.

Et puis, le 5 mars, c’est aussi le Carême. Mais alors là, silence radio. Pas un micro tendu, pas un débat sur l’impact du jeûne sur la productivité, rien. C’est fou comme certains événements religieux sont scrutés sous toutes les coutures, et d’autres… soigneusement ignorés.

Quand la laïcité devient un menu à la carte

Ce qui est encore plus fascinant, c’est que pour accompagner le Ramadan, des municipalités prêtent volontiers des locaux pour les célébrations. Un élan de générosité républicaine, sans doute.

Et pourtant, quand il s’agit d’installer une crèche dans une mairie à Noël, les mêmes hurlent au blasphème laïque. Ah, mais voyons, une crèche, c’est « une atteinte au principe de séparation de l’Église et de l’État », alors que des salles municipales pour rompre le jeûne, ça, c’est juste un geste inclusif.

Cherchez l’erreur.

Laïcité 2.0 : « Ce qui compte, c’est le ressenti »

Il fut un temps où la laïcité consistait à séparer clairement le religieux du politique. Aujourd’hui, elle ressemble plus à un buffet où l’on pioche selon les sensibilités du moment.

Le tout, sous le regard médusé de ceux qui s’étonnent encore que la France ait du mal à tenir une ligne cohérente.

La vraie question : où est l’égalité ?

Ce qui choque ici, ce n’est pas que les musulmans puissent pratiquer leur religion – chacun est libre – mais bien le deux poids, deux mesures permanent.
Pourquoi certains cultes bénéficient-ils d’une bienveillance institutionnelle quand d’autres sont constamment relégués à l’arrière-plan, voire combattus au nom d’une laïcité qu’on ne sort que quand ça arrange ?

Allez, soyons fous. Pourquoi ne pas appliquer les mêmes règles pour tout le monde ?

  • Soit on prête des locaux municipaux à tous, y compris pour des messes, des crèches et des célébrations chrétiennes.
  • Soit on ne le fait pour personne, point final.

Mais visiblement, l’égalité de traitement, c’est devenu un concept bien trop exigeant.

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Attention, ici, l’actualité est revisitée avec une touche d’ironie et de second degré. Ce contenu est purement humoristique et n’a pas vocation à refléter une vérité absolue. Prenez-le pour ce qu’il est : une invitation à rire et à réfléchir, rien de plus ! 😏

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