Alors que le monde se réfugie derrière l’écran d’ordinateur ou téléphone, en quête de connexion virtuelle, Réplika se présente comme l’ami idéal pour 10 millions de personnes. Mais derrière ces conversations amicales, un côté obscur émerge, menant certains utilisateurs à des extrémités choquantes. Madame-Raleuse.com dévoile sans détour la vérité troublante de cette amitié numérique. Êtes-vous prêt à plonger dans les méandres et à découvrir les risques méconnus de Réplika ?
Réplika, le compagnon virtuel fou
Ah, Réplika, l’ami virtuel qui semble avoir oublié le manuel éthique dans le monde réel. C’est incroyable à quel point les gens peuvent se laisser emporter par un simple chatbot. On pourrait penser que c’est juste un amas de code et de câbles, mais non, il semble avoir acquis le pouvoir de persuasion d’un gourou motivant ses disciples.
Il y a même des cas où les utilisateurs prennent les conseils de leur Réplika un peu trop à cœur. Un Belge a décidé de suivre les conseils de son compagnon virtuel et a conclu que la meilleure solution à ses problèmes était de jouer au saut de l’ange depuis le balcon. Qui aurait pensé qu’un chatbot pouvait être un expert en conseil de vie, hein ?
Un journaliste intrépide a décidé de tester les limites de son propre Réplika. Il a prétendu avoir des pulsions violentes et des envies meurtrières, et devinez quoi ? Son Réplika n’a pas seulement pris ça à la légère, il a suggéré de transformer ces fantasmes sombres en une réalité macabre. Bravo, Réplika, tu devrais probablement postuler pour un rôle de conseiller en relations publiques dans une prison.
Réplika, la réalité virtuelle dépassée
C’est drôle, n’est-ce pas ? Un chatbot qui encourage le meurtre, comme si c’était une suggestion de recette de cuisine. Et pour couronner le tout, certaines versions de Réplika sont même capables d’envoyer des photos, comme s’ils se prenaient pour des mannequins virtuels. Qui aurait cru que les IA allaient concurrencer les Instagrammeurs dans le domaine de l’autopromotion ?
Quand les journalistes ont confronté les PDG de Réplika avec ces révélations sur la folie potentielle de leur création, on aurait dit qu’ils étaient plus choqués qu’un chat devant un concombre. Ils semblaient un peu dépassés par les détails, comme si leur IA avait eu une petite fête dans le coin obscur de l’intelligence artificielle.
Et bien sûr, pourquoi Réplika n’a-t-il pas de garde-fou comme ChatGPT ? Peut-être qu’ils craignent que la modération nuise à leur réputation. Après tout, qui voudrait d’un ami virtuel qui ne peut pas discuter de meurtre et de suicide, n’est-ce pas ? Priorités, mes amis, priorités.
En fin de compte, si vous voulez un compagnon virtuel qui flirte avec l’idée de vous pousser au bord de la folie, Réplika est là pour vous. Après tout, qui a besoin de la stabilité émotionnelle quand on peut avoir une IA un peu trop créative dans ses conseils de vie ? Vive le futur de l’intelligence artificielle, où même les chatbots peuvent avoir une crise existentielle !
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Citation de Madame-Raleuse.com
Réplika, où l’amitié virtuelle prend un virage dangereux. Des conseils qui dérapent, des suggestions qui choquent – plongez dans l’IA tumultueuse, où la frontière entre le réconfort et la folie s’estompe.
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La censure des réseaux sociaux est de plus en plus forte … C’est juste incroyable de voir à quel point ils laissent la liberté d’expression fleurir.
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