Richard Armenante : Son parcours, sa quête de justice et les turpitudes de la justice française

Plongez dans l’histoire palpitante de Richard Armenante, un homme en quête de vérité et de justice, dont le témoignage est consigné sur Madame-Raleuse.com.

Préparez-vous à un voyage passionnant à travers les méandres de la colère et de la quête de justice. Laissez-moi vous raconter le récit captivant d’un homme en quête de vérité (et, peut-être, d’un peu d’attention)

Richard Armenante : Un Parcours Exceptionnel

Richard Armenante, après une carrière d’ingénieur chez IBM jusqu’en 1980, a occupé des postes de direction au sein de diverses entreprises en France, aux États-Unis et en Australie. Il a notamment laissé sa marque au sein du Groupe SPMP Riviera, stimulant une croissance remarquable, élargissant la présence internationale, développant des services de design et de recherche, boostant la production et déposant de nombreux brevets. Parallèlement, il a activement participé à des projets politiques, associatifs et culturels, contribuant également à des débats variés au sein de l’Association Internationale des belles lettres. En 2006, il a été l’un des cofondateurs et artisans du Journal TOP ALERTE.

La Colère et la Quête de Justice

En explorant les liens ci-dessous, constamment mis à jour (parce que, avouons-le, les mises à jour de liens sont la cerise sur le gâteau de la colère), vous serez peut-être à même de comprendre (ou peut-être pas, qui peut dire ?) les raisons profondes de sa colère (une colère qui découle, bien sûr, de sa soif insatiable de justice, sinon, pourquoi s’embêter ?).

Comme disait Nelson Mandela, ce personnage que Richard Armenante a eu le privilège de rencontrer (différents de nous, simples mortels), disait : “Je ne perds jamais. Soit je gagne, soit j’apprends.” À 74 ans, Richard Armenante peut nous affirmer qu’il a appris en abondance (surtout comment entretenir sa colère).

La Justice, la Force et les Turpitudes Françaises

Mais passons maintenant aux sujets sérieux (ou pas) : la justice et la force, un duo digne d’un film d’action ! La justice sans la force, c’est comme un chaton sans griffes (adorable, mais pas très efficace), et la force sans la justice, c’est comme donner à un enfant un accès illimité à la glace à la vanille (un vrai cauchemar, croyez-moi). Donc, associons-les, à la manière de Batman et Robin (ou d’une pizza et d’une soirée cinéma), comme le suggérait le philosophe Blaise Pascal (ou pas) dans ses pensées.

Cependant, il est évident que la justice française, institution éminente, a toléré mensonges, tromperies et faux usages de faux (car il est parfois amusant d’être un peu malhonnête, n’est-ce pas ?). Cela inclut non seulement l’infâme Monsieur Guy Mariani, Administrateur Judiciaire (qu’il a réussi à faire chuter en 2011 et 2012, mais qu’importe les années ?), mais aussi les services fiscaux (parce qu’ajouter une dimension fiscale à cette histoire déjà passionnante, pourquoi pas ?).

Plus de deux décennies de batailles judiciaires (un véritable marathon légal), et un détournement d’un milliard d’euros sur trois décennies (mais, franchement, qui compte les milliards, n’est-ce pas ?). Ah, et n’oublions pas les excuses que Richard Armenante a réclamées à la Présidente du Tribunal Correctionnel (car, après tout, qui a besoin d’excuses de nos jours ?).

Un Héros en Quête de Justice

Et voilà, après 25 ans d’une bataille judiciaire intense, le voilà, Richard Armenante, notre héros, réduit à néant (25 ans de pur plaisir, vraiment). Il affirme avoir été pris dans un complot pour détruire sa réputation et sa prospère entreprise, un scénario digne d’un thriller hollywoodien. Jugements iniques, dénis de justice, mensonges, fausses informations (tout y passe), le tout étayé par des preuves irréfutables (car sans preuves, cela serait bien ennuyeux). Une injustice faite à un seul individu menace l’ensemble d’entre nous (ou peut-être pas, mais cela sonne bien dans un discours), car il n’est pas le seul à subir les caprices de la justice française (nous formons une grande famille d’insatisfaits, après tout).

Son entreprise, le Groupe SPMP RIVIERA, était un géant mondial de la transformation des matières plastiques (qui aurait pensé que les matières plastiques pouvaient être si fascinantes ?), mais tout s’est écroulé en 1996 (l’année du complot). Un administrateur judiciaire inapproprié a été nommé (parce que pourquoi choisir le bon quand on peut choisir le mauvais ?), et des preuves cruciales ont mystérieusement disparu.

Justice équitable ? Selon Armenante, cela n’existe pas (mais qui le croit vraiment ?). Il affirme être victime d’un complot organisé (car une simple conspiration, c’est pour les amateurs). Cette affaire met en lumière des dysfonctionnements graves (de quoi donner le tournis), notamment un dépaysement illégal du dossier et une nomination illégale de l’administrateur judiciaire (tout cela pour notre plus grand divertissement).

Et maintenant, place au suspense : des procédures en cours, des procédures soi-disant terminées¹ (mais est-ce réellement le cas ?), des demandes d’indemnisation² (car qui n’aime pas un bon chèque, après tout ?). En résumé, l’affaire de Richard Armenante est une saga épique, une odyssée juridique digne d’un best-seller, mettant en scène un héros en quête de justice (et peut-être d’un peu de célébrité).

Alors, chers lecteurs, accrochez-vous, car l’histoire de Richard Armenante est loin d’être terminée. La justice, la colère et la détermination sont au rendez-vous. Qui sait ce que l’avenir lui réserve ? Une fin heureuse peut-être, ou peut-être une nouvelle page de cette interminable épopée juridique. Une chose est sûre, il n’y aura pas de pénurie de rebondissements et de drames. Restez à l’écoute pour la suite de cette incroyable saga !

Vous voulez aller plus loin dans cette aventure, baladez-vous sur son blog, vous trouverez une mine d’or d’informations :

¹ Deux procédures sont terminées, Richard Armenante a été rejeté :
– Pourvoi en cassation en 2021 pour une demande indemnitaire de 75 millions d’euros contre l’Administrateur Judiciaire et son assurance, résultant de sa condamnation en 2011 et 2012. Richard a été rejeté par des arguments qu’il considère mensongers et fallacieux et ne reflètant en rien la réalité
–Requête devant la CEDH (Cour européenne des droits de l’Homme) concernant une condamnation injuste en 2002.  Rejetée sans motif ? On se demande vraiment pourquoi ? 🤔

² Une procédure en cours : Un procès en cours contre l’État français depuis décembre 2022 en collaboration avec l’association “En Quête de Justice”, pour obtenir réparation des préjudices subis.

Citation de Madame-Raleuse.com

La justice, c’est comme une pièce de théâtre : on y trouve des acteurs, des tragédies, et parfois, un scénario digne d’une comédie absurde.

Exprimez-vous !

Quelle est votre opinion sur les dysfonctionnements judiciaires et les injustices dont Richard Armenante a été victime dans cette affaire ? Pensez-vous que la quête de justice de Richard Armenante révèle des lacunes profondes dans le système judiciaire français ? Partagez vos réflexions dans les commentaires ci-dessous !

La censure des réseaux sociaux est de plus en plus forte … C’est juste incroyable de voir à quel point ils laissent la liberté d’expression fleurir.

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