Élections en Roumanie : Călin Georgescu, exclu de l’élection présidentielle, quand la démocratie se prend une baffe sous les applaudissements de l’UE !

Ah, la démocratie européenne… Ce merveilleux concept qui consiste à donner le choix aux citoyens… tant qu’ils votent pour le bon candidat. Et en Roumanie, ils avaient visiblement un peu trop d’enthousiasme pour Călin Georgescu, le favori des sondages avec 44 % d’intentions de vote. Résultat ? Disqualifié par une commission électorale sortie d’un chapeau, aussi obscure qu’un budget de la Commission européenne. (source : Toute l’Europe)

Bienvenue dans la nouvelle normalité : si un candidat n’est pas validé par la sainte bureaucratie bruxelloise, il disparaît du bulletin de vote.

L’Union Européenne : championne du double standard

Ah, l’Union européenne, ce grand défenseur de la démocratie… sauf quand un de ses États membres ose penser différemment. Prenons la Hongrie et la Pologne, ces vilains petits canards qui refusent de suivre aveuglément la ligne de Bruxelles. Qu’à cela ne tienne, la Commission européenne dégaine l’article 7 du Traité sur l’Union européenne, cette arme fatale censée rappeler à l’ordre les brebis égarées.​

En 2017, la Pologne a eu l’audace de réformer son système judiciaire sans demander la permission. Résultat ? Procédure d’infraction lancée illico par la Commission européenne. La Hongrie, de son côté, sous la houlette de Viktor Orbán, a osé défendre sa souveraineté nationale. Quelle hérésie ! En 2018, le Parlement européen a donc voté le déclenchement de l’article 7 contre Budapest, accusant le pays de violer les valeurs européennes. ​(sources : Wikipédia, Wikipédia, Wikipédia)

Mais ne vous inquiétez pas, chers citoyens, tout cela est fait pour votre bien. Après tout, qui mieux que Bruxelles sait ce qui est bon pour vous ? Et si certains pays membres commencent à se demander si l’Union européenne n’est pas en train de devenir une dictature douce, c’est sûrement qu’ils n’ont rien compris à la démocratie version UE.

Pas un cri, pas une condamnation, pas une conférence de presse enflammée. Pourtant, en général, nos élites adorent nous donner des leçons sur la sacro-sainte démocratie. Sauf quand elle produit des résultats… gênants.

Georgescu, le problème ? Non, c’est son électorat !

Le vrai scandale, ce n’est pas Georgescu lui-même. C’est le fait que trop de Roumains étaient prêts à voter pour lui. Une horreur pour nos chers dirigeants européens, qui savent toujours mieux que le peuple ce qui est bon pour lui. Alors, solution miracle : il suffit d’écarter le candidat, et hop ! Plus besoin de convaincre, il ne reste que les options validées par les technocrates.

Vous vouliez un choix ? Vous avez une illusion.

Pendant ce temps, la Roumanie s’enflamme

Forcément, les électeurs n’ont pas trop apprécié qu’on leur vole leur favori. Résultat ? Des manifestations, des rues en feu, et des policiers qui prennent des pavés.

Mais bon, pour l’Union européenne, tout cela n’a pas d’importance. Tant que la démocratie se réduit à une simple décoration de vitrine, tout va bien.

Pendant ce temps, Macron et Ursula von der Leyen doivent bien rigoler. Après tout, ce genre de méthode pourrait être très utile ailleurs…

Le monde libre ? Merci, on repassera.

Si la Roumanie tombe, ce n’est que le début. On vous dira bientôt que les élections « sont trop dangereuses » et qu’il vaut mieux laisser les experts décider pour vous. Le scénario se met doucement en place, et certains semblent déjà rêver d’un monde sans électeurs, où tout se joue dans des réunions feutrées à Bruxelles.

Et si vous n’êtes pas contents ? Eh bien, vous serez peut-être les prochains à être disqualifiés.

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Attention, ici, l’actualité est revisitée avec une touche d’ironie et de second degré. Ce contenu est purement humoristique et n’a pas vocation à refléter une vérité absolue. Prenez-le pour ce qu’il est : une invitation à rire et à réfléchir, rien de plus ! 😏

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