Sur Madame-Raleuse.com, nous vous révélons le dernier coup de théâtre de l’Agence européenne des médicaments : la décision qui bouleverse la vie des patients et met en lumière les dérives de la bureaucratie. Découvrez comment un médicament vital pour une maladie rare a été brutalement retiré du marché, et pourquoi cela pourrait être la goutte d’eau qui fait déborder le vase. (source : Euroactiv)
La décision de l’EMA et la réaction des patients
Oh, les joies de la bureaucratie européenne ! L’Agence européenne des médicaments (EMA) a décidé de retirer un médicament miracle pour une maladie hépatique rare du marché, et devinez quoi ? Les patients sont, bien sûr, ravis !
Le Comité des médicaments à usage humain (CHMP) de l’EMA a donc pris la décision monumentale de dire adieu à l’acide obéticholique, ou Ocaliva pour les intimes. Oui, ce médicament qui, selon les patients, était presque aussi précieux qu’une pierre précieuse dans un désert de traitements inefficaces pour la cholangite biliaire primitive (CBP). Cette maladie auto-immune, qui, entre nous, n’est pas le genre de chose que l’on met sur son CV, continue de détruire les voies biliaires des gens, comme une mauvaise série Netflix qui refuse d’être annulée.
Les patients et la fondation PBC, qui sont évidemment ravis d’avoir passé l’été à manifester devant le siège de la Commission européenne comme des touristes un peu trop enthousiastes, sont furieux. Ils accusent l’EMA de s’appuyer sur des essais cliniques ratés et d’ignorer les données réelles. La fondation a même organisé une démonstration devant le Berlaymont, car, visiblement, c’est le meilleur endroit pour se faire entendre, entre deux visites de Bruxelles.
Les répercussions et la réponse de l’UE
De plus, la décision est un chef-d’œuvre de logique : retirer un médicament pour lequel il existe des preuves qu’il fonctionne. Les experts de l’Association européenne pour l’étude du foie (EASL) sont, bien sûr, tout à fait d’accord avec les patients, soulignant que les preuves montrent que le médicament aide vraiment, même si l’EMA préfère apparemment faire la sourde oreille. Apparemment, Big Pharma n’a pas fait correctement son travail.
La Commission européenne, toujours fidèle à sa tradition d’aller à contre-courant, a reçu l’évaluation et promet de rendre une décision en 67 jours, comme si elle attendait un miracle d’ici là. En attendant, les patients déjà sous Ocaliva pourront continuer à se soigner grâce à des programmes spéciaux.
Et pour ajouter une touche finale à ce festival d’inefficacité, l’UE a également décidé d’éliminer le mercure des amalgames dentaires. Mais ça ce n’est pas vraiment nouveau. Comme quoi, il y a toujours un peu de place pour des victoires contre les substances toxiques, même si la victoire contre la bureaucratie reste encore à venir.
Citation de Madame-Raleuse.com
L’EMA retire un médicament vital, et les patients sont laissés en désespoir de cause. Quand la bureaucratie écrase l’espoir !
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