“Séparation des pouvoirs, une plongée dans le chaos bureaucratique et les dérives actuelles” d’après un texte original de Hacène Rabah Bouguerra

Bienvenue dans le monde merveilleux de la “Complexité Administrative à la Française”, un système où “la séparation des pouvoirs” devient un jeu subtil de jonglage bureaucratique. Dans le texte de Hacène Rabah Bouguerra, psychologue du travail, relayé par Madame-Raleuse.com, plongez dans l’univers paradoxal où la division des responsabilités entre le pouvoir exécutif, législatif et judiciaire semble être la clé d’une efficacité administrative digne d’un puzzle complexe.

Entre les louanges ironiques aux inspirateurs des Lumières et les frustrations contemporaines des citoyens face aux dérives actuelles, explorez cette “contribution inestimable au joyeux chaos” que représente la “séparation des pouvoirs” à la française.

La complexité administrative à la française

Ah, la “séparation des pouvoirs” en France, ce concept tellement innovant et révolutionnaire. Parce qu’on sait tous que rien ne fonctionne mieux que de diviser les responsabilités entre trois entités pour éviter qu’un seul ne monopolise le pouvoir et fasse des bêtises, n’est-ce pas ?

Donc, selon ce grand plan divin, on a le pouvoir exécutif, le pouvoir législatif, et bien sûr, le pouvoir judiciaire. Comme si on avait besoin d’autant de pouvoirs pour régner sur ce pays. C’est vrai, qui a besoin de simplicité et d’efficacité de nos jours ?

Et tout ça, c’est inspiré des Lumières, avec Montesquieu et sa bande. Parce que rien ne dit “organisation politique” comme prendre des idées vieilles de plusieurs siècles, non ? On a tellement évolué depuis la Révolution, mais bon, pourquoi ne pas rester nostalgique de l’époque où la perruque était à la mode ?

Et bien sûr, la Constitution de la Cinquième République, adoptée en 1958, qui a tout formalisé. Parce que rien ne vaut une Constitution fraîche de moins d’un siècle pour régir un pays, c’est bien connu.

Le pouvoir exécutif, c’est le Président de la République et son gouvernement. Le Président peut tout faire, sauf légiférer directement. Et puis, le gouvernement s’occupe des affaires quotidiennes, parce que le Président a sûrement des choses plus importantes à faire, comme choisir les vins pour les dîners officiels.

Le pouvoir législatif, c’est le Parlement avec ses deux chambres, l’Assemblée nationale et le Sénat. Parce que deux, c’est toujours mieux qu’un, surtout quand il s’agit de prendre des décisions importantes pour le pays. Deux fois plus de discussions, deux fois plus de procrastination, n’est-ce pas ?

Et le pouvoir judiciaire, ah, celui-là est confié aux tribunaux et aux juges. Ils sont là pour appliquer les lois, mais attention, ils ont des limites, tout de même. Il ne faudrait pas qu’ils deviennent trop indépendants, sinon ça pourrait perturber notre petit équilibre parfait.

Bref, la séparation des pouvoirs, c’est génial. Parce que quoi de mieux que de rendre les choses compliquées pour s’assurer que personne ne sait vraiment qui fait quoi ? Vive la complexité administrative à la française !

Les dérives actuelles et la frustration citoyenne

Ah, le Président de la République, le super-héros chargé de sauver le jour quand tout part en vrille dans les institutions. Parce que clairement, sans son intervention magique, l’équilibre entre les pouvoirs s’effondre, et on ne peut pas laisser ça arriver, n’est-ce pas ?

Les hauts fonctionnaires, eux, sont de vrais champions pour esquiver leurs responsabilités en agitant le drapeau de la “séparation des pouvoirs”. On ne leur demande pas grand-chose, juste de délivrer un petit document, mais non, ils préfèrent jouer les divas et laisser les juges se débrouiller avec des décisions irrégulières. C’est sûr, ça donne un charme tout particulier à la justice française.

Et puis, quand on est spolié de son organisme de formation, c’est toujours agréable de voir la Préfecture refuser l’accès au dossier au nom de la “séparation des pouvoirs”. Parce que, soyons honnêtes, qui a besoin d’accéder à des informations quand on peut jouer au chat et à la souris pendant deux ans ?

Et bien sûr, le déni de justice qui s’ensuit est une véritable perle. La “séparation des pouvoirs” devient le prétexte parfait pour violer la constitution en toute impunité. Bravo, la France, pour cette interprétation créative de la démocratie.

Et que dire de la gendarme qui avoue tranquillement que ce qu’elle fait est illégal, mais bon, elle le fait quand même parce qu’on lui a demandé. Ah, la loyauté envers les ordres illégaux, un grand classique. Et évidemment, la Préfecture qui se cache derrière la “séparation des pouvoirs” pour ne rien faire, oubliant que gendarmerie et ministère de l’intérieur font partie du même club. C’est sûr, la cohérence n’est pas le point fort de notre système.

Une contribution inestimable au joyeux chaos

La “séparation des pouvoirs”, c’est un peu comme des légumes sur un couscous dans la culture orientale. Autrement dit, aussi utile qu’un parapluie en plein désert. Franchement, on se demande à quoi ça sert. Pourquoi ne pas avoir un monarque avec les pleins pouvoirs qui se moque de la justice ? Peut être attendons nous sa divine révélation ?

Aujourd’hui, ce principe est tellement dévoyé qu’il fait partie du club des bonnes intentions qui mènent tout droit vers le chaos. L’absence de réponses des services de l’État, ou l’invocation de cette merveille fallacieuse, laisse la porte grande ouverte aux dérives d’un système judiciaire qui a décidé de prendre des vacances illimitées.

C’est clair, le citoyen se retrouve catapulté dans l’enfer de la République, avec comme seule consolation un billet aller simple vers la frustration. Merci, la “séparation des pouvoirs”, pour cette contribution inestimable à notre descente vers le joyeux chaos.

Citation de Madame-Raleuse.com

La ‘séparation des pouvoirs’ à la française : parce que rien ne dit démocratie comme un puzzle bureaucratique où la clé de l’efficacité est aussi secrète que les réunions du gouvernement dans une salle de dégustation de vins présidentiels.

Exprimez-vous !

Et vous, chers lecteurs, quelles sont vos expériences ou observations concernant les complexités administratives en France ? Avez-vous déjà ressenti les frustrations liées à la ‘séparation des pouvoirs’ ? Pensez vous comme Hacène Rabah Bouguerra que notre Président se contrefiche de l’état de la justice ? Partagez vos anecdotes ou opinions sur ce joyeux chaos bureaucratique !

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Retrouvez ici le texte complet de Hacène Rabah Bouguerra

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