Soignants suspendus : une indemnisation arrachée, mais à quel prix ?

Madame-Raleuse.com ne lâche rien : les soignants suspendus ont droit à une indemnisation pour avoir respecté la loi. Mais attention, l’État ne fera rien pour vous faciliter la tâche ! Découvrez pourquoi il est impératif de réclamer vos droits avant qu’il ne soit trop tard.

L’indemnisation : Une générosité conditionnelle

Ah, les soignants suspendus… Ceux qui n’ont fait que suivre la loi, et qui ont pourtant vu leur vie professionnelle basculer. Bon, c’est vrai, ils n’ont pas voulu servir de cobaye pour des vaccins ARNm en phase d’expérimentation. Quelle audace ! Refuser l’obéissance aveugle à l’autorité, tout en restant dans les clous légaux. Franchement, ils avaient bien mérité une petite suspension, histoire de réfléchir à leur impudence, non ?

Mais attention, maintenant l’État se réveille, tout sourire (ou presque), en disant : « Ah, on aurait peut-être exagéré un tantinet, on va vous indemniser. » Quelle générosité ! Bon, ça ne tombe pas du ciel non plus, hein. Soignants, vous avez jusqu’au 1er janvier 2025 pour faire valoir vos droits à l’indemnisation. Parce que oui, apparemment, même si vous avez respecté la loi en refusant la piqûre ou en perdant un procès (et franchement, qui peut en sortir gagnant contre la machine administrative?), vous avez droit à une indemnisation pour « préjudices disproportionnés ».

Disproportionnés ? C’est le moins qu’on puisse dire ! On vous a mis au placard, mais ne vous inquiétez pas, on vous donnera un petit quelque chose… si vous le demandez. Parce que non, on ne va pas faire l’effort de vous le verser d’office. Ce serait trop simple. La loi du 31 décembre 1968 précise qu’il faut le réclamer, et dans les quatre ans qui suivent, sinon… pouf ! C’est à jamais perdu. Pas de bras, pas de chocolat, comme on dit. Alors, notez bien la date limite : 1er janvier 2025.

Une indemnité proportionnelle à l’inconfort

Mais ne vous inquiétez pas, cette indemnité sera proportionnelle à l’inconfort subi, et croyez-moi, l’inconfort d’être suspendu pendant une crise sanitaire, c’est quelque chose qu’on mesure bien mal. Ah, cette sensation unique de se retrouver en première ligne, puis d’être jeté dans les tribunes parce qu’on ne voulait pas se faire injecter… Quel honneur ! Heureusement, tout est prévu pour que vous puissiez être indemnisé, mais surtout, seulement si vous le réclamez. Alors allez-y, c’est le moment de reprendre ce que vous n’auriez jamais dû perdre !

Envie d’en savoir plus ? Vous avez une question ? Retrouvez l’article juridique complet ici : https://www.guyon-avocat.fr/…/le-droit-a-indemnisation…/ Parce qu’à défaut d’avoir été compris, vous pouvez au moins être payé pour avoir eu raison trop tôt.

Citation de Madame-Raleuse.com

Suspendus pour avoir respecté la loi, indemnisés pour le préjudice subi : l’absurde à son paroxysme.

Exprimez-vous !

Pourquoi l’État ne prend-il pas la peine d’indemniser d’office les soignants suspendus, alors qu’il reconnaît une faute ? Partagez votre opinion dans les commentaires, on veut vous entendre !

——————————–

Attention, ici, l’actualité est revisitée avec une touche d’ironie et de second degré. Ce contenu est purement humoristique et n’a pas vocation à refléter une vérité absolue. Prenez-le pour ce qu’il est : une invitation à rire et à réfléchir, rien de plus ! 😏

——————————–

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

*