Madame-Raleuse.com vous dévoile tout : En France, la solution n’est jamais l’interdiction, mais toujours la taxation. Pourquoi interdire quand on peut encaisser, n’est-ce pas ? Découvrez comment nos dirigeants ont fait des vices un véritable business, au nom du bien commun… ou plutôt du bien de leurs caisses !
En France, quand quelque chose est potentiellement dangereux, il ne faut surtout pas l’interdire. Ce serait beaucoup trop simple, voyons ! Non, ici, on le laisse sur le marché et on le taxe, bien évidemment. Le principe est simple : plus c’est nuisible, plus on en fait une vache à lait.
Le sucre est mauvais pour la santé ? Pas de problème, on le taxe. Mais attention, pas trop d’un coup, faut pas brusquer les consommateurs, pardon, les contribuables. Le tabac ? Même stratégie, on aligne les taxes pour mieux gérer la culpabilité de ceux qui aiment leur clope après le café. Et l’alcool, me direz-vous ? Idem. Plutôt que d’interdire, on rajoute une petite taxe, histoire de se donner bonne conscience tout en récupérant quelques milliards au passage. C’est ça, la France : un paradis fiscal pour les vices, tant qu’on paie la dime au nouveau clergé de Bercy.
La formule magique des dirigeants
Nos dirigeants ont trouvé la formule magique : transformer chaque comportement à risque en occasion de ponctionner un peu plus les citoyens. Le sucre tue ? Mais la taxe, elle, fait vivre l’État ! On est loin du bon vieux « la santé avant tout ». Ici, c’est plutôt « votre santé nous importe peu, tant que vous alignez les sous ».
Payer une taxe sur un produit nocif ne le rend pas moins nocif, mais c’est une excellente manière de continuer à remplir les caisses tout en prétendant agir pour le bien commun. La culpabilité se monnaye, les indulgences modernes ont un prix, et elles se paient au supermarché, à chaque fois que vous passez en caisse avec votre soda ou votre paquet de clopes. L’essentiel, c’est de maintenir les moutons en file indienne, la main sur le porte-monnaie et la tête basse.
Liberté sans compromis
En ce qui me concerne, je préfère une bonne dose de liberté, sans aspartame. Parce que je ne suis pas né pour être asservi par des types en costume-cravate qui se fichent pas mal de savoir si je finirai en surpoids ou alcoolique. Je veux être libre de faire mes choix, bons ou mauvais, sans qu’un prélèvement automatique me rappelle chaque mois que la seule chose qui compte, c’est le montant sur la facture.
Vive la liberté, et tant pis pour les indulgences !
Citation de Madame-Raleuse.com
Le sucre tue, mais la taxe fait vivre l’État.
Exprimez-vous !
Pourquoi nos dirigeants préfèrent-ils nous ponctionner plutôt que de protéger notre santé ? Partagez votre avis et dites-nous si vous pensez que cette taxation est une simple hypocrisie !
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Attention, ici, l’actualité est revisitée avec une touche d’ironie et de second degré. Ce contenu est purement humoristique et n’a pas vocation à refléter une vérité absolue. Prenez-le pour ce qu’il est : une invitation à rire et à réfléchir, rien de plus ! 😏
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