Attention, ici, l’actualité est revisitée avec une touche d’ironie et de second degré. Ce contenu est purement humoristique et n’a pas vocation à refléter une vérité absolue. Prenez-le pour ce qu’il est : une invitation à rire et à réfléchir, rien de plus ! 😏

Coup de pied gratuit sur une manifestante : quand un syndicaliste policier appelle ça… le « maintien de l’ordre »

Ah, la magie des mots. Il y a ceux qui parlent de violences policières, et puis il y a ceux – syndicalistes policiers de service – qui transforment un coup de pied sur une femme au sol en simple « geste dans le cadre du maintien de l’ordre ». Comme quoi, tout dépend du narrateur : dans Alice au pays des merveilles, ça s’appelle un conte ; en Macronie, ça s’appelle un communiqué syndical.

Elle tombe toute seule… et prend un coup de pied par hasard

La vidéo est pourtant claire : une manifestante tombe, un policier lui assène un coup de pied, puis un autre la pousse. Mais selon notre expert ès contorsion verbale :

  • « Elle tombe toute seule » → Oui, comme par magie, les pavés sont glissants.
  • « Le coup de pied au fait peut-être, mais pas de tout son élan » → Ah, pardon ! Si le policier n’a pas donné son 100 %, alors ce n’est pas vraiment une agression, juste une caresse musclée.
  • « Après, il la pousse pas violent » → Forcément, trois mètres plus loin, elle a dû trébucher sur une pensée révolutionnaire.

Bref, la violence devient relative : un coup de pied, c’est presque un câlin, et une poussée, c’est une escorte gratuite.

La fatigue comme excuse universelle

Et comme toujours, l’argument massue arrive : « Les policiers sont fatigués ».
Donc, si je comprends bien :

  • Un prof fatigué ne frappe pas ses élèves.
  • Un boulanger fatigué ne balance pas des baguettes sur ses clients.
  • Mais un policier fatigué peut distribuer des coups de pieds gratuits ?
    Bienvenue en Absurdistan : la fatigue devient un permis de frapper.

La déontologie en option

Le syndicaliste nous rassure : « Il y a une déontologie ». Oui, bien sûr, rangée dans un tiroir, sous la pile de rapports jamais lus. Quand une femme au sol se prend un coup de rangers, ce n’est pas un manquement, c’est juste « dans un contexte bien particulier ». Traduction : tout est excusable, tant qu’on colle le mot « contexte ».

Conclusion : la violence, une nouvelle doctrine pédagogique

Ce qui choque le plus, ce n’est pas seulement la scène, mais la banalité avec laquelle elle est justifiée. Comme si taper une manifestante pacifique était une extension naturelle du service public. Et si on demande des comptes ? Réponse : « Vous faites des choux gras avec vos images ».
Eh oui : filmer la réalité, c’est désormais l’acte répréhensible. Pas la botte dans les côtes.

Moralité : en 2025, la doctrine du maintien de l’ordre, c’est simple – on cogne d’abord, on justifie après, et si ça choque, on accuse la caméra d’avoir « mal filmé ».

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

*