Sur Madame-Raleuse.com, nous avons un nouveau coup de cœur épidémique : le virus Powassan ! Découvrez pourquoi cette petite bête à huit pattes pourrait bien gâcher vos escapades estivales. Vous n’avez pas encore entendu parler de ce virus ? Attendez de lire ce qui suit, vous allez être surpris ! (source : 20Minutes)
La dernière trouvaille de la nature
Ah, le virus Powassan, le dernier-né de la famille des virus transmissibles par les tiques ! Voilà un petit bijou qui est arrivé sans crier gare pour gâcher le plaisir de notre été canadien. Quoi de mieux que de se faire attaquer par une minuscule créature à huit pattes pour agrémenter un après-midi paisible dans la forêt ?
Imaginez le plaisir : vous décidez de vous aventurer en plein air, vous vous transformez en buffet ambulant pour tiques, et bam, vous voilà avec un virus dont le nom évoque un petit bourg pittoresque du Canada. Oui, le virus Powassan est ce joyau rare de la transmission vectorielle, comme une pièce de collection que personne ne voulait vraiment mais que vous vous retrouvez avec en cadeau surprise. Ce virus, mes chers amis, ne se contente pas de vous donner des frissons, il se spécialise dans le fait de vous rendre malade et de jouer à cache-cache avec les médecins jusqu’à ce que vous passiez plus de temps à l’hôpital qu’à profiter des rayons du soleil.
Au Canada, on a récemment eu le plaisir de découvrir ce virus à travers le cas d’un petit garçon de 9 ans, dont le seul crime fut de s’aventurer dans le nord de l’Ontario. La série de symptômes a dû rappeler aux médecins les bonnes vieilles enquêtes de détective : maux de tête, raideur de la nuque, fièvre, mais sans rien de franchement révélateur à première vue. Après un dédale d’examens, dont le dépistage de maladies plus connues et répandues, ils ont enfin mis la main sur l’invité indésirable : le virus Powassan, après plusieurs semaines de suspense médical. Bravo pour le service de diagnostic !
L’ironie des précautions estivales
Ce virus est la cerise sur le gâteau des plaisirs de l’été. Pendant que vous êtes à la recherche de la meilleure crème solaire, vous pourriez aussi envisager de faire une inspection minutieuse de votre peau pour débusquer ces charmantes tiques. Et tant pis pour le confort, il est désormais conseillé de s’équiper comme un personnage de science-fiction : vêtement de couleur pâle, pantalon dans les chaussettes, et une couche de DEET plus épaisse que le maquillage de scène d’une comédie musicale.
Et, cerise sur le gâteau de l’ironie, même si vous réussissez à éviter les tiques, il n’existe pas encore de vaccin contre le virus Powassan. Vous pourrez donc vous consoler en sachant que, même après avoir pris toutes ces précautions, la meilleure chose que vous puissiez faire est d’espérer que vous ne tomberez pas dans la catégorie des malchanceux qui souffrent de séquelles neurologiques. Les survivants de cette aventure ont environ 50 % de chance de garder un souvenir impérissable – et pas du genre agréable.
Alors, la prochaine fois que vous planifiez une escapade dans la nature, n’oubliez pas : vous pourriez revenir avec une histoire fascinante à raconter – comme celle de la fois où vous avez eu l’honneur de rencontrer le virus Powassan. Mais bon, c’est toujours mieux que de collectionner des statuettes de jardin, non ?
Citation de Madame-Raleuse.com
Quand la nature se fait tique et vous offre un virus pour l’été, la fête n’est plus vraiment au rendez-vous.
Exprimez-vous !
Êtes-vous prêt à transformer vos balades en forêt en une chasse aux tiques pour éviter le virus Powassan ? Partagez vos astuces et expériences en commentaire !
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