Sanofi vend Kardegic et Aspegic : quand le profit prime sur les pilules

Sanofi, ce bienfaiteur de l’humanité, ce gardien du bien-être collectif… Ah non, pardon, ce géant avide qui vend tout ce qui ne génère pas assez de dividendes. Cette fois, il a décidé de se débarrasser de Kardegic et Aspegic, ces petites aspirines qui soulagent les vieux cœurs fatigués, ainsi que de son usine d’Amilly. (source : Les Echos) Pourquoi ? Parce que bon, ça ne crache pas assez de cash, évidemment ! Place à la rentabilité, à la Big Pharma attitude, et tant pis pour les nostalgiques du bon vieux cachet effervescent.

Les médicaments qui soignent ? Trop ringard pour Sanofi !

Sanofi, comme tous les laboratoires qui se respectent, a une mission sacrée : faire du fric. L’aspirine ? Sympa, certes, mais dépassée ! Aujourd’hui, ce qui fait saliver les investisseurs, ce sont les biotech, les vaccins hors de prix et les traitements innovants qui garantissent des marges à deux chiffres. Alors les vieux comprimés à 2€ remboursés par la Sécu ? Poubelle !

Exit donc Kardegic et Aspegic, pourtant bien utiles pour éviter de transformer son artère en pipeline de caillots. Mais bon, quand un produit ne rapporte pas assez, on le dégage comme un stagiaire qui a demandé un CDI.

L’usine d’Amilly : un fardeau trop lourd pour des actionnaires fragiles

Ah, et l’usine d’Amilly, parlons-en ! Parce que produire en France, c’est mignon, mais c’est aussi cher. Alors, hop, on revend, on externalise, on optimise. Peu importe que cela fasse vivre des centaines de familles, la seule valeur qui compte, c’est celle en bourse.

À ce rythme, Sanofi finira par revendre tous ses laboratoires et ne garder qu’un bureau marketing à Dubaï. Après tout, pourquoi se fatiguer à fabriquer quand on peut juste vendre des brevets et encaisser des royalties bien juteuses ?

Les actionnaires jubilent, les patients trinquent

Bien sûr, cette vente stratégique ne vise pas à améliorer la santé publique ou l’accès aux soins. Ah ça non, il ne faudrait pas exagérer ! L’objectif ? Satisfaire les actionnaires et maximiser les dividendes. Si au passage, ça met un coup de pression sur les prix des médicaments et que les patients doivent raquer un peu plus, c’est la vie, coco ! Après tout, comme dirait Sanofi : « Nous sommes une entreprise, pas la Croix-Rouge ! »

Conclusion : Sanofi, une entreprise qui prend soin… de son portefeuille

La vente de Kardegic, Aspegic et de l’usine d’Amilly n’a qu’un seul objectif : maximiser les profits en sacrifiant ce qui ne rapporte pas assez. Tant pis si ça complique l’accès à certains traitements, tant pis pour les emplois, tant pis pour l’industrie française. Ce qui compte, c’est le cours de l’action et les bonus des dirigeants. Et avec cette logique, qui sait ? Peut-être que demain, Sanofi vendra même son nom à Amazon Pharma et sous-traitera la recherche à ChatGPT !

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Attention, ici, l’actualité est revisitée avec une touche d’ironie et de second degré. Ce contenu est purement humoristique et n’a pas vocation à refléter une vérité absolue. Prenez-le pour ce qu’il est : une invitation à rire et à réfléchir, rien de plus ! 😏

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