Vous pensiez que la Commission européenne se contentait de réguler la taille des concombres et d’interdire les pailles en plastique ? Détrompez-vous ! Elle sait aussi se montrer généreuse… surtout quand il s’agit de financer les médias. Selon une enquête du journal italien Il Fatto Quotidiano, 132,82 millions d’euros ont été discrètement alloués à des groupes de presse dans le cadre des élections européennes de juin 2024.
Un jackpot signé Bruxelles… mais pour qui ?
Ah, la transparence européenne ! Toujours vantée, rarement appliquée. Car si on sait que cet argent a transité via Havas Media France, une filiale du groupe Vivendi, les bénéficiaires exacts restent mystérieusement inconnus. Pourquoi tant de secret ? Officiellement, pour protéger les « intérêts commerciaux des opérateurs économiques ». Officieusement, on imagine bien que dévoiler qui reçoit ces juteux chèques risquerait d’écorner l’image d’une presse censée être indépendante.
Une générosité bien ciblée
Soyons clairs : l’UE ne distribue pas ces millions au hasard. Il ne s’agit pas d’aider un petit journal local en difficulté ou de financer un média d’opposition en détresse. Non, ces fonds arrivent comme par magie juste avant les élections européennes. Un hasard, vraiment ?
En gros, la machine médiatique reçoit une belle injection de fonds juste au moment où il faut façonner l’opinion publique. Vous sentez venir l’angle éditorial :
- L’Europe, c’est la paix et l’amour.
- Ceux qui la critiquent sont des populistes obscurantistes.
- Votez pour les « bons » partis, sinon c’est le chaos.
Le contribuable paie, les médias encaissent
Pendant que Bruxelles abreuve les médias d’euros sonnants et trébuchants, qui paie la note ? Vous, bien sûr. Parce que cet argent ne tombe pas du ciel : il provient de votre poche, via les taxes et contributions que la France verse à l’UE.
Et pourtant, quand on parle d’indépendance journalistique, ces mêmes médias feignent l’indignation : « Nous sommes libres, nous ne subissons aucune influence ». Libre à vous d’y croire… ou de vous poser les bonnes questions sur cette manne financière providentielle.
Conclusion : transparence à géométrie variable
Si la Commission européenne veut prouver que ces 132 millions ne servent pas à orienter l’opinion en faveur du projet européen, il lui suffit de publier la liste complète des bénéficiaires et les montants versés. Mais soyons honnêtes : vous croyez vraiment qu’elle va le faire ?
D’ici là, continuez à croire en l’objectivité des médias… ou commencez à vous demander si l’UE n’a pas déjà écrit le script des élections à venir.
——————————–
Attention, ici, l’actualité est revisitée avec une touche d’ironie et de second degré. Ce contenu est purement humoristique et n’a pas vocation à refléter une vérité absolue. Prenez-le pour ce qu’il est : une invitation à rire et à réfléchir, rien de plus ! 😏
——————————–