Naomi Wolf pulvérise le silence sur Pfizer : 450 000 documents, stérilité massive, effets cachés… et une censure mondiale organisée

Il y a des interviews qui vous laissent sans voix. Pas parce que vous manquez de mots, mais parce qu’ils ne suffisent plus à contenir la rage, l’effarement, ou ce mélange acide d’ironie et d’effroi. Naomi Wolf, c’est l’intello féministe qu’on invitait dans The Guardian, qui conseillait Clinton, et qui a aujourd’hui disparu des radars médiatiques pour avoir osé toucher à l’intouchable : les vaccins Pfizer.

Dans une interview accordée, elle livre un témoignage glaçant sur les 450 000 documents internes de Pfizer — ceux que la FDA a tenté de garder secrets pendant 75 ans — et sur les conséquences catastrophiques que ces documents révèlent : fausses couches, stérilité, effondrement des naissances, et surtout… ils savaient.

Pfizer voulait enterrer ses archives pendant 75 ans. La justice a dit non.

Tout part d’un procès. Un avocat américain, Aaron Siri, attaque la FDA pour qu’elle rende publics les documents transmis par Pfizer. Victoire judiciaire. Résultat : 450 000 documents internes révélés au grand jour. Des données cliniques post-commercialisation couvrant les 3 premiers mois de mise sur le marché du vaccin Pfizer.

Et qu’y découvre-t-on ? Une hécatombe silencieuse.

Plus de 12 000 morts et 140 000 effets graves en 90 jours

Pfizer recensait :

  • 12 125 décès signalés à ses équipes médicales.
  • 140 000 effets indésirables graves, allant de la thrombose à la paralysie, en passant par les AVC, les crises cardiaques, les troubles neurologiques… et même… le Covid.

Oui, le troisième effet secondaire recensé était… le Covid.
Pfizer l’a su dès janvier 2021 : les vaccins n’empêchaient pas l’infection.

Mais le plus glaçant est ailleurs.

Ce n’est pas un vaccin, c’est un plan de sabotage reproductif

Selon Naomi Wolf, les documents Pfizer témoignent d’une obsession troublante pour le système reproductif humain. Rien ou presque sur les poumons (malgré une maladie dite « respiratoire »)… mais des montagnes de données sur les ovaires, les testicules, le sperme, les cycles menstruels, les placentas, les fausses couches.

Quelques chiffres issus de Pfizer :

  • 80 % de fausses couches dans certains groupes.
  • 15 000 femmes saignaient par jour.
  • 10 000 femmes perdaient leurs règles.
  • Fillettes de 10 ans et femmes de 85 ans subissant des hémorragies.
  • Bébés morts in utero, documentés comme liés à la « vaccination maternelle ».
  • Stérilité masculine, dommages aux testicules de fœtus garçons exposés par voie transplacentaire.

Et pendant ce temps-là, le CDC disait aux femmes enceintes : “Il n’y a pas de mauvais moment pour se faire vacciner”. Trois jours après réception des données de Pfizer. Parfait timing.

Exposition par le sperme, le lait maternel… ou l’air ?

Pfizer définit dans ses documents internes l’exposition au vaccin comme possible via :

  • la peau,
  • les fluides corporels,
  • et l’inhalation.

Résultat : ils ont demandé aux hommes vaccinés de ne pas avoir de rapports avec des femmes en âge de procréer sans double contraception. Et de ne pas concevoir d’enfants.

Ils ont même mené des expériences d’accouplement rat-mâle-vacciné + femelle non vaccinée.
Oui, ça commence à ressembler à du Mengele 2.0, et Naomi Wolf, juive, ose le dire : « Je ne fais pas cette comparaison à la légère. »

🤫 Une censure globale et méthodique

Quand Naomi Wolf a osé tweeter, en 2021, que les femmes se plaignaient de troubles menstruels, sa biographie a été modifiée sur Wikipédia, elle a été blacklistée de tous les médias, interdite d’antenne, traitée de complotiste.
Pourtant ? Elle avait raison.
Et elle le prouve aujourd’hui, documents à l’appui.

Surprise bonus : Pfizer a transféré le brevet… à la Chine

Et là, on entre dans la dystopie : en 2021, Pfizer transfère la propriété intellectuelle de son vaccin au Parti Communiste Chinois, via Fosun Pharma.
👉 La Chine fabrique un milliard de doses pour l’export, tout en utilisant… un autre vaccin pour sa propre population.
Pendant ce temps, l’Occident vaccine à tour de bras… avec un produit que la Chine contrôle.

En résumé (à respirer à deux doses) :

  • Pfizer voulait cacher les documents pendant 75 ans.
  • Ils montrent une catastrophe sanitaire, surtout sur la fertilité.
  • Les autorités savaient. Elles ont censuré.
  • Et aujourd’hui encore, rien. Aucun retrait. Aucune alerte.
  • Naomi Wolf a tout perdu. Mais elle persiste.

Alors la prochaine fois qu’on vous dit “c’est sûr et efficace”, rappelez-vous : ce n’est pas parce que c’est écrit sur une seringue que c’est gravé dans la vérité. Et parfois, ceux qu’on traite de complotistes… sont juste en avance sur le désastre.

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Attention, ici, l’actualité est revisitée avec une touche d’ironie et de second degré. Ce contenu est purement humoristique et n’a pas vocation à refléter une vérité absolue. Prenez-le pour ce qu’il est : une invitation à rire et à réfléchir, rien de plus ! 😏

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