Dans la France de l’absurde, il ne suffit plus d’être médecin pour soigner. Il faut aussi prêter serment à Pfizer, Moderna et au Grand Ordre du Vaccin Infaillible. Sinon ? Interdiction de soigner. De parler. Et bientôt, de respirer ?
Le Dr Michel Procureur, chirurgien ORL avec 35 ans de métier, a commis l’impardonnable. Non, il n’a pas laissé un scalpel dans une gorge. Il a fait pire. Il a voulu protéger ses patients et ses enfants des effets secondaires des injections à ARNm. Résultat : 3 ans de suspension. Sanctionné par l’Ordre des Médecins, qui veille désormais moins à l’éthique médicale qu’à la conformité aux dogmes sanitaires de l’UERSS.
Faux pass, vraies vies sauvées
Oui, il a réalisé de faux pass sanitaires. Et alors ? Vous vous souvenez de ce moment de délire collectif où on n’avait plus le droit d’aller à la piscine, au resto ou à l’hôpital sans un QR code magique ? Lui, il a choisi de contourner la farce pour épargner des patients qu’on voulait piquer de force. Crime de compassion.
Mais ce n’est pas tout. Car depuis sa suspension, le Dr Procureur a recueilli des dizaines de témoignages de familles brisées par les effets secondaires : jeunes en pleine santé fauchés après une dose, AVC, cancers fulgurants, maladies neurologiques improbables… Tout cela bien sûr sans lien prouvé diront les autorités. Il n’y a de causalité que ce que la DREAL décrète (oui, même si c’est la Direction de l’environnement, ici elle sert à enterrer les preuves… sous des dunes invisibles, peut-être).
“Quand on ne peut plus questionner la médecine, ce n’est plus de la science. C’est de la religion. Et attention, le Dieu Pfizer est jaloux.”
Le Spike, ce poison qui s’incruste
Le Dr Procureur l’explique avec précision : la fameuse protéine Spike vaccinale, loin d’être éliminée en 48 heures comme promis, reste détectable dans les tissus jusqu’à 700 jours après l’injection. On la retrouve dans les cancers, dans les organes endommagés, dans des analyses de sang anormales. Et pourtant ? Silence radio.
Ah non, pardon. On a eu droit à un nouvel arrêté interdisant les médecins de prescrire des analyses non validées par l’ARS. Traduction : ne cherche pas à comprendre ce que tu as. Contente-toi de souffrir en silence. La médecine 3.0.
Une association pour les victimes (oui, il y en a)
Le médecin soutient aujourd’hui l’association Action 200 Belgique, fondée par Marc Gerombeau, un père ayant perdu sa fille. Oui, ça aussi, on préfère ne pas trop en parler. Une mort jeune post-injection ? “Coïncidence tragique”. Trois ? “Complotiste”. Cent ? “Statistiquement négligeable.” Mille ? “Circulez.”
Sauf qu’eux, ils ne veulent plus circuler. Ils veulent comprendre. Prouver. Et agir. Avec des tests pour détecter les protéines Spike, les dérivés du fibrinogène, les D-dimères… Autant de signaux que la médecine officielle préfère ne pas entendre.
Vous avez dit « science » ?
Non. Aujourd’hui, on parle d’ingénierie de l’oubli. On vaccine à l’aveugle, on interdit d’interroger, on bâillonne les lanceurs d’alerte et on suspend ceux qui pensent. Et dans ce théâtre de l’absurde, les seuls qui essaient de comprendre deviennent… des criminels.
Alors, vous savez quoi ? Merci Docteur Procureur. Merci de continuer à parler, même suspendu. Parce qu’un jour, il faudra bien juger ceux qui ont sacrifié la médecine à l’autel du marché pharmaceutique.
Et en attendant, si vous avez des symptômes inexpliqués, une santé qui décline sans raison, ou juste un cerveau encore en état de fonctionner… allez jeter un œil à l’association. L’invisibilité, ça suffit.
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Attention, ici, l’actualité est revisitée avec une touche d’ironie et de second degré. Ce contenu est purement humoristique et n’a pas vocation à refléter une vérité absolue. Prenez-le pour ce qu’il est : une invitation à rire et à réfléchir, rien de plus ! 😏
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