Ah, la joie des notices de médicaments : « peut provoquer des somnolences, des vertiges, une légère envie de mourir… et accessoirement des substances cancérogènes ». (source : Journal des femmes) Oui, parce qu’en 2025, il ne suffit plus que votre antidépresseur vous aide à supporter la morosité ambiante : il doit aussi vous offrir un petit frisson cancérigène façon nitrosamines.
5000 patients concernés… mais pas de panique !
L’ANSM rassure (enfin façon de parler) : 5000 Français, majoritairement de plus de 60 ans, prennent encore ce médicament retiré du marché. Mais attention : ne l’arrêtez surtout pas de vous-même. Quitte à choisir entre « risque de cancer à long terme » et « syndrome de sevrage violent avec nausées, vomissements et malaises », l’agence préfère que vous restiez fidèles à vos petites pilules contaminées.
Ludiomil®, l’antidépresseur collector
Les lots F0016, F0017 et F0018 du Ludiomil® sont rappelés. On dirait presque des numéros de tombola, sauf que le gros lot, c’est un cocktail toxique. Distribués jusqu’au 31 mars 2025, ils dorment peut-être encore dans les armoires à pharmacie. Alors si vous avez l’impression de conserver une relique chimique, c’est normal : vous avez gagné un aller simple pour le tri sélectif.
Les alternatives made in ANSM
Pas de panique (bis) : on vous propose des remplaçants.
- L’amitriptyline (Laroxyl®), un classique made in France : moins risqué pour vos cellules mais toujours efficace pour votre moral.
- La mirtazapine, l’outsider : pas de la même famille, mais avec une action sédative sympa et une meilleure tolérance. Bref, le générique du sommeil tranquille.
Conclusion : sourire forcé
Donc, si votre antidépresseur préféré vire au cocktail cancérigène, rassurez-vous : le système est rodé. On vous rappellera, on vous proposera un substitut, et tout ira bien. Enfin, jusqu’à la prochaine alerte sanitaire. Parce qu’en France, même vos cachets pour aller mieux peuvent vous donner envie… de râler encore plus.